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Depuis 2018 et l’adoption de la loi Egalim I, les promotions sur les produits alimentaires sont plafonnées à 34 %.
La loi Egalim III ou Descrozaille (article 7 ) étend cette disposition aux rayons droguerie, parfumerie et hygiène. Ainsi, tous ces produits seront soumis à la même réglementation à compter du 1er mars 2024. Cette loi vient donc encadrer les réductions, mais ne les interdit pas.
Garantir la rémunération des industriels
Le plafonnement des réductions à 34 % (en valeur) sur certains produits non alimentaires répond à un objectif de protection des industriels lors des négociations avec la grande distribution, notamment les petites ou moyennes entreprises (PME).
En encadrant les promotions sur ces produits, comme c’est le cas pour l’alimentaire, l’idée est d’éviter que les exploitants ne subissent de pression pour tirer au maximum leurs prix vers le bas et ne soient en deçà de leurs coûts de production.
Cette disposition devrait permettre aux entreprises de dégager des marges plus importantes, et d’en faire ainsi bénéficier l’agroalimentaire.
Aller plus loin
- Loi Egalim 3 : vers un équilibre dans les relations commerciales entre l’agroalimentaire et la grande distribution
- [[Vidéo] Présentation des engagements de la grande distribution face à l’inflation alimentaire]urlblank:https://www.economie.gouv.fr/engagements-grande-distribution-lutte-inflation-alimentaire
MINEFI - Dossier complet
La loi Egalim III ou Descrozaille (article 7 ) étend cette disposition aux rayons droguerie, parfumerie et hygiène. Ainsi, tous ces produits seront soumis à la même réglementation à compter du 1er mars 2024. Cette loi vient donc encadrer les réductions, mais ne les interdit pas.
Garantir la rémunération des industriels
Le plafonnement des réductions à 34 % (en valeur) sur certains produits non alimentaires répond à un objectif de protection des industriels lors des négociations avec la grande distribution, notamment les petites ou moyennes entreprises (PME).
En encadrant les promotions sur ces produits, comme c’est le cas pour l’alimentaire, l’idée est d’éviter que les exploitants ne subissent de pression pour tirer au maximum leurs prix vers le bas et ne soient en deçà de leurs coûts de production.
Cette disposition devrait permettre aux entreprises de dégager des marges plus importantes, et d’en faire ainsi bénéficier l’agroalimentaire.
Aller plus loin
- Loi Egalim 3 : vers un équilibre dans les relations commerciales entre l’agroalimentaire et la grande distribution
- [[Vidéo] Présentation des engagements de la grande distribution face à l’inflation alimentaire]urlblank:https://www.economie.gouv.fr/engagements-grande-distribution-lutte-inflation-alimentaire
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