
La liste des victimes de cyberattaques ne cesse de s’allonger au fil des mois. Sur les 187 attaques visant des collectivités territoriales, recensées par l’Agence nationale de sécurité des systèmes d’information (Anssi), 42 visaient des Départements. 12 régions (sur 18) ont également été ciblées sur la même période. Cela représente 10 attaques par mois.
La grande majorité d’entre elles sont des attaques à but lucratif, par « rançongiciel. Avec parfois de lourdes conséquences pour les collectivités, allant de la mise au chômage technique d’employés, à la remise en place d’un système d’information, ou à l’arrêt de certains services payants.
Pourquoi s’en prendre aux collectivités territoriales ?
Les collectivités territoriales représentent une proie parfaite pour les hackers, également très intéressés par le large portefeuille de compétences dont elles disposent (état civil, éducation, prestations sociales), et par le grand nombre de données personnelles et financières d’administrés, qui vont avec. Et même en cas d’échec du chantage, les données collectées par les hackers, restent précieuses à la revente ou pour mener des attaques futures.
L’Anssi précise que le nombre de cyberattaques est certainement sous-estimé, car il repose essentiellement sur les signalements des collectivités à l’Anssi. Or, ces dernières n’ont pas obligation de le faire.
ADF >> Note complète
La grande majorité d’entre elles sont des attaques à but lucratif, par « rançongiciel. Avec parfois de lourdes conséquences pour les collectivités, allant de la mise au chômage technique d’employés, à la remise en place d’un système d’information, ou à l’arrêt de certains services payants.
Pourquoi s’en prendre aux collectivités territoriales ?
Les collectivités territoriales représentent une proie parfaite pour les hackers, également très intéressés par le large portefeuille de compétences dont elles disposent (état civil, éducation, prestations sociales), et par le grand nombre de données personnelles et financières d’administrés, qui vont avec. Et même en cas d’échec du chantage, les données collectées par les hackers, restent précieuses à la revente ou pour mener des attaques futures.
L’Anssi précise que le nombre de cyberattaques est certainement sous-estimé, car il repose essentiellement sur les signalements des collectivités à l’Anssi. Or, ces dernières n’ont pas obligation de le faire.
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