
Lors d’une conférence de presse, Barbara Pompili, ministre de la Transition écologique, a réaffirmé la volonté de l’Etat de poursuivre le déploiement de l’éolien terrestre pour atteindre les objectifs de la programmation pluriannuelle de l’énergie, tout en présentant des solutions pour un développement harmonieux et concerté avec les parties prenantes de cette source d’énergie renouvelable.
Le développement éolien terrestre est un axe structurant de la politique énergétique française : la programmation pluriannuelle de l’énergie fixe un objectif de 35 GW en 2028. Il doit contribuer à atteindre l’objectif de 40% d’électricité d’origine renouvelable en 2030. Le parc éolien terrestre installé a déjà des effets sensibles sur les émissions de gaz à effet de serre, puisqu’il permet d’éviter chaque année l’émission de 15 millions de tonnes de CO2, soit l’équivalent de la circulation annuelle de près de 8 millions de véhicules. La ministre a rappelé que l’éolien terrestre est une source d’énergie compétitive et créatrice d’emplois, qui représente déjà plus de 20 000 emplois directs ou indirects en France.
Pour poursuivre le développement de l’éolien conformément aux objectifs fixés et de manière mieux acceptée, le ministère de la Transition écologique a réuni un groupe de travail éolien en 2020. Le Conseil de Défense écologique du 8 décembre 2020 a permis d’adopter plusieurs des pistes dégagées par ce groupe de travail. Il prévoyait notamment la réalisation d’une cartographie des zones propices au développement de l’éolien terrestre. La ministre a présenté, au cours de cette conférence de presse, la circulaire du ministère de la Transition écologique demandant aux préfets de région de réaliser cette cartographie.
Ce travail devra être réalisé après concertation avec les Régions, les communes et les intercommunalités et reposer sur des données objectives et existantes, couvrant les principaux enjeux influant potentiellement le développement de l’éolien (distances aux habitations, radars, biodiversité, aspects paysagers, gisement de vent). Un premier retour est demandé sous 6 mois après les élections régionales pour une finalisation 1 an après ces élections. La circulaire demande également aux préfets d’adresser au ministère chaque année un compte rendu détaillé du volume d’autorisations.
A l’occasion de cette conférence de presse, le ministère de la Transition écologique publie également ce jour un document permettant de démêler le vrai du faux à propos de l’éolien terrestre.
La circulaire
Le vrai / faux sur l’éolien terrestre
Le discours de la ministre
Où et comment implanter les éoliennes pour épargner les chauves-souris ?
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Le développement éolien terrestre est un axe structurant de la politique énergétique française : la programmation pluriannuelle de l’énergie fixe un objectif de 35 GW en 2028. Il doit contribuer à atteindre l’objectif de 40% d’électricité d’origine renouvelable en 2030. Le parc éolien terrestre installé a déjà des effets sensibles sur les émissions de gaz à effet de serre, puisqu’il permet d’éviter chaque année l’émission de 15 millions de tonnes de CO2, soit l’équivalent de la circulation annuelle de près de 8 millions de véhicules. La ministre a rappelé que l’éolien terrestre est une source d’énergie compétitive et créatrice d’emplois, qui représente déjà plus de 20 000 emplois directs ou indirects en France.
Pour poursuivre le développement de l’éolien conformément aux objectifs fixés et de manière mieux acceptée, le ministère de la Transition écologique a réuni un groupe de travail éolien en 2020. Le Conseil de Défense écologique du 8 décembre 2020 a permis d’adopter plusieurs des pistes dégagées par ce groupe de travail. Il prévoyait notamment la réalisation d’une cartographie des zones propices au développement de l’éolien terrestre. La ministre a présenté, au cours de cette conférence de presse, la circulaire du ministère de la Transition écologique demandant aux préfets de région de réaliser cette cartographie.
Ce travail devra être réalisé après concertation avec les Régions, les communes et les intercommunalités et reposer sur des données objectives et existantes, couvrant les principaux enjeux influant potentiellement le développement de l’éolien (distances aux habitations, radars, biodiversité, aspects paysagers, gisement de vent). Un premier retour est demandé sous 6 mois après les élections régionales pour une finalisation 1 an après ces élections. La circulaire demande également aux préfets d’adresser au ministère chaque année un compte rendu détaillé du volume d’autorisations.
A l’occasion de cette conférence de presse, le ministère de la Transition écologique publie également ce jour un document permettant de démêler le vrai du faux à propos de l’éolien terrestre.
La circulaire
Le vrai / faux sur l’éolien terrestre
Le discours de la ministre
Où et comment implanter les éoliennes pour épargner les chauves-souris ?
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