
Alors que l’étude initiale, réalisée avec l’INET, avait pour objectif d’identifier les principaux freins au financement de la transition écologique des collectivités ainsi que les pistes d’évolution, cette nouvelle approche a pour vocation de mettre en évidence les particularités propres aux Petites Villes, la strate des collectivités accueillant entre 2 500 et 25 00 habitants. Les conclusions de cette étude résultent d’entretiens qualitatifs, d’une enquête investiguée auprès de 587 membres de l’APVF et d’un croisement avec les précédentes données obtenues par les élèves administrateurs de l’INET.
Cette étude met en lumière différents constats convergeant tous vers une réalité selon laquelle les différences ne se font pas nécessairement entre types de collectivités mais plutôt en fonction de leur taille. Les grandes communes semblent avoir plus de facilités pour financer la transition écologique que les petites villes.
Dans ces territoires, la transition écologique est une thématique encore essentiellement portée par les élus, avec des budgets alloués qui paraissent corrélés à la population municipale. Or, la transition écologique est souvent qualifiée d’onéreuse, par les matériaux utilisés, les techniques employées, les expertises nouvelles à mobiliser, etc… Au-delà de l’aspect financier, l’humain est également un facteur à prendre en compte car l’ingénierie disponible en interne n’est que rarement suffisante pour répondre aux enjeux colossaux que nécessite la transition écologique.
APVF >> Etude complète
Cette étude met en lumière différents constats convergeant tous vers une réalité selon laquelle les différences ne se font pas nécessairement entre types de collectivités mais plutôt en fonction de leur taille. Les grandes communes semblent avoir plus de facilités pour financer la transition écologique que les petites villes.
Dans ces territoires, la transition écologique est une thématique encore essentiellement portée par les élus, avec des budgets alloués qui paraissent corrélés à la population municipale. Or, la transition écologique est souvent qualifiée d’onéreuse, par les matériaux utilisés, les techniques employées, les expertises nouvelles à mobiliser, etc… Au-delà de l’aspect financier, l’humain est également un facteur à prendre en compte car l’ingénierie disponible en interne n’est que rarement suffisante pour répondre aux enjeux colossaux que nécessite la transition écologique.
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