
En termes d’opportunités, l’IA peut directement contribuer à réduire l’empreinte environnementale par des systèmes créés spécifiquement pour leur utilité écologique. Par exemple, l’IA contribue à la mesure et à la gestion de la qualité de l’air, en prévoyant plusieurs heures à l’avance la concentration de particules fines à tel ou tel endroit et en conseillant d’adapter en conséquence les déplacements.
L’IA peut aussi indirectement contribuer à réduire l’empreinte environnementale par une amélioration de l’efficacité énergétique de l’ensemble des activités. Cette optimisation de l’usage des ressources prend des formes multiples dans de nombreux secteurs : pilotage des flux de circulation routière, chauffage des bâtiments, gestion des déchets, etc.
Mais, d’un autre côté, la consommation d’électricité, de métaux rares, d’eau et d’espaces artificialisés imputable aux IA est en nette croissance, même si elle reste marginale par rapport à la consommation totale.
L’IA aggrave donc l’empreinte environnementale du numérique, à la fois dans ses trois briques matérielles (les terminaux, les réseaux, les centres de données) et dans toutes les étapes du cycle de vie (fabrication, distribution, utilisation et fin de vie).
La présente étude est centrée sur l’impact environnemental, positif et négatif, des usages de l’IA et plus particulièrement de l’IA générative dans l’écosystème numérique.
Source - Le CESE
L’IA peut aussi indirectement contribuer à réduire l’empreinte environnementale par une amélioration de l’efficacité énergétique de l’ensemble des activités. Cette optimisation de l’usage des ressources prend des formes multiples dans de nombreux secteurs : pilotage des flux de circulation routière, chauffage des bâtiments, gestion des déchets, etc.
Mais, d’un autre côté, la consommation d’électricité, de métaux rares, d’eau et d’espaces artificialisés imputable aux IA est en nette croissance, même si elle reste marginale par rapport à la consommation totale.
L’IA aggrave donc l’empreinte environnementale du numérique, à la fois dans ses trois briques matérielles (les terminaux, les réseaux, les centres de données) et dans toutes les étapes du cycle de vie (fabrication, distribution, utilisation et fin de vie).
La présente étude est centrée sur l’impact environnemental, positif et négatif, des usages de l’IA et plus particulièrement de l’IA générative dans l’écosystème numérique.
Source - Le CESE
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