Vendredi 12 avril en fin de journée, le centre historique de Charlieu s'est animé de façon tout à fait inhabituelle. Les sapeurs-pompiers exécutaient un exercice d'ampleur à l'abbaye.
Mise en place d'un poste de commandement
Les premiers équipages sont arrivés à 18 h 35. Puis le dispositif est largement monté en puissance au fil des minutes, jusqu'à la mise en place d'un poste de commandement à proximité directe de l'intervention. Les gendarmes, mais aussi la protection civile de Charlieu, ont également été engagés.
Mission : protéger les œuvres
L'eau s'est infiltrée par la charpente dans deux pièces de l'abbaye. Les sapeurs-pompiers ont eu pour mission de bâcher les lourdes pièces intransportables et de placer dans des caisses sécurisées les plus petites œuvres.
L'objectif de cet exercice d'une ampleur exceptionnelle était de tester le Plan de sauvegarde des biens culturels. "C'est quelque chose que l'on n'a pas l'habitude de travailler... dans des établissements comme l'abbaye de Charlieu, on a des œuvres d'une valeur inestimable qui peuvent être impactées. C'est un super entraînement", relatait sur place le lieutenant Stéphane Michaud, responsable de l'exercice. Un scénario que personne n'espère voir devenir réel.
Source Le Pays
Mise en place d'un poste de commandement
Les premiers équipages sont arrivés à 18 h 35. Puis le dispositif est largement monté en puissance au fil des minutes, jusqu'à la mise en place d'un poste de commandement à proximité directe de l'intervention. Les gendarmes, mais aussi la protection civile de Charlieu, ont également été engagés.
Mission : protéger les œuvres
L'eau s'est infiltrée par la charpente dans deux pièces de l'abbaye. Les sapeurs-pompiers ont eu pour mission de bâcher les lourdes pièces intransportables et de placer dans des caisses sécurisées les plus petites œuvres.
L'objectif de cet exercice d'une ampleur exceptionnelle était de tester le Plan de sauvegarde des biens culturels. "C'est quelque chose que l'on n'a pas l'habitude de travailler... dans des établissements comme l'abbaye de Charlieu, on a des œuvres d'une valeur inestimable qui peuvent être impactées. C'est un super entraînement", relatait sur place le lieutenant Stéphane Michaud, responsable de l'exercice. Un scénario que personne n'espère voir devenir réel.
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