
Si les buches de bois ou les granulés de bois sont une source d’énergie renouvelable et neutre en carbone qu’il faut encourager, dans de mauvaises conditions, leur combustion peut également constituer une part significative de la pollution aux particules fines. Les particules fines sont responsables de 40 000 décès par an en France selon Santé Publique France, dont 17 000 pourraient être évitées en respectant les valeurs limites recommandées par l’Organisation Mondiale de la Santé.
Les principaux facteurs qui influencent sur la qualité de la combustion du chauffage au bois, et donc sur les émissions de particules fines, sont :
- la performance de l’appareil
- l’utilisation d’un combustible de bonne qualité
- les pratiques d’utilisation
Dans le cadre de la loi Climat et Résilience, le parlement a voté un objectif d’une baisse de 50 % des émissions de particules fines entre 2020 et 2030 dans les territoires les plus pollués. Puisque le chauffage au bois présente un intérêt écologique, l’objectif du plan présenté n’est pas d’abandonner ce mode de chauffage mais de le rendre plus performant.
Ainsi, le plan d’action est décliné autour des axes suivants :
- sensibiliser le grand public à l’impact sur la qualité de l’air d’un chauffage au bois avec des appareils peu performants ou un combustible de mauvaise qualité.
- renforcer et simplifier les dispositifs d’accompagnement pour accélérer le renouvellement des appareils de chauffage au bois. 600 000 appareils seront remplacés d’ici 2025
- améliorer la performance des nouveaux équipements de chauffage au bois
- promouvoir l’utilisation d’un combustible de qualité
- encadrer l’utilisation du chauffage au bois dans les zones les plus polluées
MTES >> Plan d’action complet
Les principaux facteurs qui influencent sur la qualité de la combustion du chauffage au bois, et donc sur les émissions de particules fines, sont :
- la performance de l’appareil
- l’utilisation d’un combustible de bonne qualité
- les pratiques d’utilisation
Dans le cadre de la loi Climat et Résilience, le parlement a voté un objectif d’une baisse de 50 % des émissions de particules fines entre 2020 et 2030 dans les territoires les plus pollués. Puisque le chauffage au bois présente un intérêt écologique, l’objectif du plan présenté n’est pas d’abandonner ce mode de chauffage mais de le rendre plus performant.
Ainsi, le plan d’action est décliné autour des axes suivants :
- sensibiliser le grand public à l’impact sur la qualité de l’air d’un chauffage au bois avec des appareils peu performants ou un combustible de mauvaise qualité.
- renforcer et simplifier les dispositifs d’accompagnement pour accélérer le renouvellement des appareils de chauffage au bois. 600 000 appareils seront remplacés d’ici 2025
- améliorer la performance des nouveaux équipements de chauffage au bois
- promouvoir l’utilisation d’un combustible de qualité
- encadrer l’utilisation du chauffage au bois dans les zones les plus polluées
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