
L’approvisionnement en produits locaux est essentiel pour garantir la souveraineté alimentaire des territoires. Néanmoins, l’origine géographique n’est en soi que très peu liée à la durabilité écologique de notre alimentation.
La consommation de produits locaux présente de nombreuses vertus, en particulier celle de soutenir les filières agricoles sur le territoire. Toutefois, “manger local” ne peut pas être considéré comme une solution pour réduire les impacts climatiques et environnementaux de son alimentation.
En effet, 84% des impacts écologiques de notre alimentation résultent de la manière dont les denrées alimentaires sont produites : le transport des produits n’en représente ainsi qu’une part marginale.
Si la dimension locale fait évidemment partie de l’équation, une alimentation durable implique nécessairement de limiter sa consommation de produits d’origine animale (viande, produits laitiers…) et de privilégier les pratiques agricoles respectueuses de l’environnement (agroécologie, agriculture biologique, élevages paysans durables…).
Sommaire
- “Manger local” : une démarche aux multiples bénéfices à certains égards…
- … Mais qui ne suffit pas pour réduire les émissions de gaz à effet de serre de son alimentation
- Baisser la consommation de produits animaux pour réduire ses émissions
- La majorité des impacts environnementaux de l’alimentation sont indépendants de la distance et du transport
RAC-F >> Note complète
En 2017, 20 % des ménages ont consommé des produits alimentaires de leur propre production ou de celle d’un autre ménage
INSEE >> Note complète
La consommation de produits locaux présente de nombreuses vertus, en particulier celle de soutenir les filières agricoles sur le territoire. Toutefois, “manger local” ne peut pas être considéré comme une solution pour réduire les impacts climatiques et environnementaux de son alimentation.
En effet, 84% des impacts écologiques de notre alimentation résultent de la manière dont les denrées alimentaires sont produites : le transport des produits n’en représente ainsi qu’une part marginale.
Si la dimension locale fait évidemment partie de l’équation, une alimentation durable implique nécessairement de limiter sa consommation de produits d’origine animale (viande, produits laitiers…) et de privilégier les pratiques agricoles respectueuses de l’environnement (agroécologie, agriculture biologique, élevages paysans durables…).
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- “Manger local” : une démarche aux multiples bénéfices à certains égards…
- … Mais qui ne suffit pas pour réduire les émissions de gaz à effet de serre de son alimentation
- Baisser la consommation de produits animaux pour réduire ses émissions
- La majorité des impacts environnementaux de l’alimentation sont indépendants de la distance et du transport
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En 2017, 20 % des ménages ont consommé des produits alimentaires de leur propre production ou de celle d’un autre ménage
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