
Vous ne mesurez pas le niveau de gravité de la crise du logement : une offre de logement neufs en forte diminution, une demande empêchée. Et pourtant, les besoins sont criants.
Ce phénomène va s’amplifier.
L’année 2022 était jusqu’alors la plus mauvaise jamais constatée. 2023 s’annonce encore pire.
Les chiffres du troisième trimestre 2023 font apparaître :
- Des mises en vente qui s’effondrent : -44 % !
- Des ventes aux particuliers qui atteignent un point bas à moins de 16 000 logements neufs vendus (plus de 27 000 logements en moyenne trimestrielle ces dernières années).
Si rien ne change, en 2023, les ventes aux particuliers seront inférieures à 70 000 unités contre 120 000 en moyenne annuelle.
De nombreux parlementaires ont compris la gravité de la situation et ont pris leurs responsabilités en proposant, dans le cadre du PLF2024, des mesures puissantes, immédiates et efficaces, à l’instar de celle consistant à exonérer temporairement de droits de succession l’acquisition d’un logement neuf destiné à la résidence principale de son occupant.
Messieurs les ministres des Finances et des Comptes publics, l’ampleur de la crise que vivent nos concitoyens exige des dispositions législatives d’urgence dans le texte qui sera adopté.
Sans nouveaux logements collectifs neufs en quantité suffisante, pas de réindustrialisation possible, pas de logements locatifs sociaux (54% des logements sociaux neufs sont produits par la promotion immobilière), pas de politique de plein emploi (300 000 emplois supprimés dans les deux ans).
FPI >> Communiqué complet
Ce phénomène va s’amplifier.
L’année 2022 était jusqu’alors la plus mauvaise jamais constatée. 2023 s’annonce encore pire.
Les chiffres du troisième trimestre 2023 font apparaître :
- Des mises en vente qui s’effondrent : -44 % !
- Des ventes aux particuliers qui atteignent un point bas à moins de 16 000 logements neufs vendus (plus de 27 000 logements en moyenne trimestrielle ces dernières années).
Si rien ne change, en 2023, les ventes aux particuliers seront inférieures à 70 000 unités contre 120 000 en moyenne annuelle.
De nombreux parlementaires ont compris la gravité de la situation et ont pris leurs responsabilités en proposant, dans le cadre du PLF2024, des mesures puissantes, immédiates et efficaces, à l’instar de celle consistant à exonérer temporairement de droits de succession l’acquisition d’un logement neuf destiné à la résidence principale de son occupant.
Messieurs les ministres des Finances et des Comptes publics, l’ampleur de la crise que vivent nos concitoyens exige des dispositions législatives d’urgence dans le texte qui sera adopté.
Sans nouveaux logements collectifs neufs en quantité suffisante, pas de réindustrialisation possible, pas de logements locatifs sociaux (54% des logements sociaux neufs sont produits par la promotion immobilière), pas de politique de plein emploi (300 000 emplois supprimés dans les deux ans).
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