
La maladie d’Alzheimer et les maladies apparentées toucheraient actuellement 1,2 million de personnes. Compte tenu de l’allongement de l’espérance de vie et de l’arrivée à l’âge de la retraite des générations issues du baby-boom, 1,7 million de personnes pourraient être concernées en 2030.
Cela représente un double enjeu pour notre société :
- un enjeu éthique d’abord, car il faut faire en sorte que, quelle que soit l’intensité de leurs troubles, les personnes malades soient toujours pleinement respectées dans leur humanité et leur inaliénable dignité ;
- un enjeu économique ensuite, car les conséquences sociales, médico-sociales et médicales de ces maladies ont un coût considérable pour les familles concernées et pour la collectivité.
En se fondant sur son expertise et sur ces échanges, la Fondation Médéric Alzheimer s’est forgée quatre grandes convictions.
- on ne relèvera pas le défi du vieillissement cognitif en opposant l’approche biomédicale et l’approche psychosociale.
- on ne pourra pas faire face à l’augmentation attendue des besoins en demandant sans cesse davantage de moyens, ni en se contentant de déployer plus largement les réponses actuelles.
- il est temps d’arrêter de se focaliser sur les échecs, pour s’intéresser davantage à ce qui «marche».
- pour se donner une meilleure chance de comprendre et d’agir, il est utile de resituer le phénomène Alzheimer dans le contexte plus large du vieillissement et il faut apprendre à regarder les syndromes démentiels comme des handicaps cognitifs évolutifs.
Trois maîtres-mots
Compte tenu de ces éléments, trois maîtres mots devraient présider à la construction d’une réponse pérenne au phénomène Alzheimer : organiser la prévention, améliorer l’accompagnement et bâtir une société inclusive.
Fondation Médéric >> Communiqué complet
Cela représente un double enjeu pour notre société :
- un enjeu éthique d’abord, car il faut faire en sorte que, quelle que soit l’intensité de leurs troubles, les personnes malades soient toujours pleinement respectées dans leur humanité et leur inaliénable dignité ;
- un enjeu économique ensuite, car les conséquences sociales, médico-sociales et médicales de ces maladies ont un coût considérable pour les familles concernées et pour la collectivité.
En se fondant sur son expertise et sur ces échanges, la Fondation Médéric Alzheimer s’est forgée quatre grandes convictions.
- on ne relèvera pas le défi du vieillissement cognitif en opposant l’approche biomédicale et l’approche psychosociale.
- on ne pourra pas faire face à l’augmentation attendue des besoins en demandant sans cesse davantage de moyens, ni en se contentant de déployer plus largement les réponses actuelles.
- il est temps d’arrêter de se focaliser sur les échecs, pour s’intéresser davantage à ce qui «marche».
- pour se donner une meilleure chance de comprendre et d’agir, il est utile de resituer le phénomène Alzheimer dans le contexte plus large du vieillissement et il faut apprendre à regarder les syndromes démentiels comme des handicaps cognitifs évolutifs.
Trois maîtres-mots
Compte tenu de ces éléments, trois maîtres mots devraient présider à la construction d’une réponse pérenne au phénomène Alzheimer : organiser la prévention, améliorer l’accompagnement et bâtir une société inclusive.
Fondation Médéric >> Communiqué complet
Dans la même rubrique
-
Actu - Personnes âgées - La vaccination des seniors au cœur de la Semaine européenne de la vaccination
-
Actu - Personnes âgées - Lancement du service public départemental de l'autonomie (SPDA)
-
Actu - Personnes âgées - L’Unccas et le service civique solidarité séniors (SC2S) renouvellent leur partenariat
-
Actu - Personnes âgées - Longévité : et si l’environnement et le mode de vie jouaient un rôle plus important que la génétique ?
-
Actu - Personnes âgées - Appel à manifestation d’intérêt pour une revue de littérature sur le vieillissement et la pauvreté