
Partant des constats partagés par les acteurs d’une attractivité relativement faible de l’apprentissage et d’une complexité de son organisation (financement, formalités administratives, modalités de rupture du contrat) qui peut s’avérer dissuasive pour certaines familles et certaines entreprises, le rapport formule plusieurs propositions d’évolution.
Ces propositions ciblent en premier lieu les jeunes et leur famille. Elles reposent sur une amélioration de leur information notamment par des indicateurs de qualité des CFA, une meilleure préparation des jeunes avec la création d’un "sas" qui permette de bien préparer le jeune à l’entrée en apprentissage et un meilleur accompagnement tout au long du parcours d’apprentissage, y compris lorsqu’il y a rupture du contrat. Pour qu’ils soient davantage en prise avec les aspirations des jeunes, ces parcours doivent être sécurisés et fluidifiés, ce que visent ces propositions.
Le rapport formule également des recommandations en vue d’une meilleure prise en compte des contraintes de l’entreprise. Sont ainsi proposées la rédaction de référentiels d’activités professionnelles plus proches des évolutions et des besoins de l’entreprise ainsi que la suppression de certains freins réglementaires qui peuvent peser sur leurs choix d’embauche. Le maître d’apprentissage serait obligatoirement formé et verrait également son rôle valorisé.
Enfin, le rapport propose de faire évoluer la gouvernance actuelle de l’apprentissage. Cela passe notamment par la création d’une Agence de l’apprentissage chargée de coordonner les acteurs, de donner de la visibilité aux jeunes et aux familles sur l’apprentissage ainsi que de simplifier les modalités d’accompagnement tout au long du parcours.
France Stratégie - 2018-01-31
Concertation apprentissage : les régions rappellent leur vision exigeante et ambitieuse
Régions de France - 2018-01-31
Ces propositions ciblent en premier lieu les jeunes et leur famille. Elles reposent sur une amélioration de leur information notamment par des indicateurs de qualité des CFA, une meilleure préparation des jeunes avec la création d’un "sas" qui permette de bien préparer le jeune à l’entrée en apprentissage et un meilleur accompagnement tout au long du parcours d’apprentissage, y compris lorsqu’il y a rupture du contrat. Pour qu’ils soient davantage en prise avec les aspirations des jeunes, ces parcours doivent être sécurisés et fluidifiés, ce que visent ces propositions.
Le rapport formule également des recommandations en vue d’une meilleure prise en compte des contraintes de l’entreprise. Sont ainsi proposées la rédaction de référentiels d’activités professionnelles plus proches des évolutions et des besoins de l’entreprise ainsi que la suppression de certains freins réglementaires qui peuvent peser sur leurs choix d’embauche. Le maître d’apprentissage serait obligatoirement formé et verrait également son rôle valorisé.
Enfin, le rapport propose de faire évoluer la gouvernance actuelle de l’apprentissage. Cela passe notamment par la création d’une Agence de l’apprentissage chargée de coordonner les acteurs, de donner de la visibilité aux jeunes et aux familles sur l’apprentissage ainsi que de simplifier les modalités d’accompagnement tout au long du parcours.
France Stratégie - 2018-01-31
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