
Écosystèmes marin et littoral, ressources marines, qualité des produits de la mer ou énergie marine, sans oublier les aspects socio-économiques : pendant six années le projet Marco s’est attaché à étudier globalement le milieu marin et les produits aquatiques dans les Hauts-de-France.
Le projet a ainsi associé l’université du Littoral Côte d’Opale (Ulco), l’Anses (Laboratoire de sécurité des aliments), le CNRS, l’université de Lille, et l’Ifremer. Il a été financé dans le cadre d’un contrat de plan État-Région (CPER) par la région Hauts-de-France, l’État, l’Europe et l’Ifremer, à hauteur de 7 millions d’euros.
Tour d’horizon des apports de ce projet, auquel l’Anses a contribué sur la qualité des produits de la mer, dont l’étude des microplastiques et de leur impact sur ces produits :
- Des équipements de pointe pour étudier les microplastiques
Le projet a permis l’acquisition de trois équipements qui permettent de visualiser les microplastiques. Ces équipements, mutualisés entre l’Anses et l’Ulco, pourront être utilisés pour de futurs projets de recherche nationaux, européens et internationaux sur les microplastiques
- Des précisions sur la contamination des mollusques et des poissons
Les scientifiques ont montré que l’ingestion de microplastiques par les moules modifie la composition de leur microbiote. Quant aux poissons, il a été montré que très peu de microplastiques se retrouvent dans leur chair, les particules restant dans le système digestif
- Étude des pathogènes des poissons
Plusieurs outils d’analyse de biologie moléculaire acquis dans le cadre du projet ont été utilisés pour étudier en détail la diversité du microbiote des poissons d’élevage
ANSES >> Etude complète
Le projet a ainsi associé l’université du Littoral Côte d’Opale (Ulco), l’Anses (Laboratoire de sécurité des aliments), le CNRS, l’université de Lille, et l’Ifremer. Il a été financé dans le cadre d’un contrat de plan État-Région (CPER) par la région Hauts-de-France, l’État, l’Europe et l’Ifremer, à hauteur de 7 millions d’euros.
Tour d’horizon des apports de ce projet, auquel l’Anses a contribué sur la qualité des produits de la mer, dont l’étude des microplastiques et de leur impact sur ces produits :
- Des équipements de pointe pour étudier les microplastiques
Le projet a permis l’acquisition de trois équipements qui permettent de visualiser les microplastiques. Ces équipements, mutualisés entre l’Anses et l’Ulco, pourront être utilisés pour de futurs projets de recherche nationaux, européens et internationaux sur les microplastiques
- Des précisions sur la contamination des mollusques et des poissons
Les scientifiques ont montré que l’ingestion de microplastiques par les moules modifie la composition de leur microbiote. Quant aux poissons, il a été montré que très peu de microplastiques se retrouvent dans leur chair, les particules restant dans le système digestif
- Étude des pathogènes des poissons
Plusieurs outils d’analyse de biologie moléculaire acquis dans le cadre du projet ont été utilisés pour étudier en détail la diversité du microbiote des poissons d’élevage
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