
Il y a ceux qui pensent que vendre une baguette blanche pas trop cuite à 29 centimes est un argument contre la hausse des prix. Et il y en a d’autres qui choisissent de développer de vraies réponses à un vrai besoin : l’accès pour tous à un bon pain quotidien, qui nourrit les estomacs mais aussi les territoires.
Une baguette à 29 centimes ? Vous avez bien dit "baguette" ?
Pascal Wozniak, artisan et président de l’association Noste Pan , fédère une quinzaine d’agriculteurs autour de la filière d’un pain départemental dont le blé, la minoterie et la transformation sont estampillés 100 % local. La baguette de 250 g issue de ce projet collectif garantit un revenu contractuel aux agriculteurs et s’affiche en moyenne à 1,20 € sur son étal.
Le rôle majeur des collectivités
En France, de plus en plus de collectivités locales font du pain un instrument de développement au service de l’économie locale mais aussi de la santé publique. C’est l’option que se propose la collectivité pour le développement de son propre écosystème
- Pourquoi acheter du mauvais pain, même à bas prix, quand on peut en produire du très bon à un coût tout à fait acceptable sur le territoire ?
Avec les contraintes budgétaires qu’on leur connaît, les cantines parviennent, avec de la volonté et en faisant fonctionner l’intelligence collective, à rendre accessible au plus grand nombre un pain bio et local, de grande qualité.
Le prix à payer ? Celui de l’objectif politique d’une alimentation qui redonne du sens.
Un Plus Bio>> Article complet
Une baguette à 29 centimes ? Vous avez bien dit "baguette" ?
Pascal Wozniak, artisan et président de l’association Noste Pan , fédère une quinzaine d’agriculteurs autour de la filière d’un pain départemental dont le blé, la minoterie et la transformation sont estampillés 100 % local. La baguette de 250 g issue de ce projet collectif garantit un revenu contractuel aux agriculteurs et s’affiche en moyenne à 1,20 € sur son étal.
Le rôle majeur des collectivités
En France, de plus en plus de collectivités locales font du pain un instrument de développement au service de l’économie locale mais aussi de la santé publique. C’est l’option que se propose la collectivité pour le développement de son propre écosystème
- Pourquoi acheter du mauvais pain, même à bas prix, quand on peut en produire du très bon à un coût tout à fait acceptable sur le territoire ?
Avec les contraintes budgétaires qu’on leur connaît, les cantines parviennent, avec de la volonté et en faisant fonctionner l’intelligence collective, à rendre accessible au plus grand nombre un pain bio et local, de grande qualité.
Le prix à payer ? Celui de l’objectif politique d’une alimentation qui redonne du sens.
Un Plus Bio>> Article complet
Dans la même rubrique
-
RM - Allongement du délai de remboursement de la tarification sociale des cantines
-
RM - Réautorisation des contenants plastiques dans la restauration scolaire
-
RM - Réglementation sanitaire et vente en circuit court
-
Actu - Publication de l’avis du CNLE sur la Stratégie nationale pour l’alimentation, la nutrition et le climat
-
Doc - Gaspillage alimentaire dans les transports de voyageurs ferroviaires, fluviaux et maritimes : l’ADEME publie une étude inédite qui met en lumière des solutions concrètes