
Si l’on exclut les investissements liés à la défense, cette proportion grimpe à 58% : 52% au titre des seules collectivités locales et 6% pour les organismes divers d’administration locale.
Cette part dans l’investissement civil est relativement stable dans le temps et oscille entre 52% et 60% sur les 30 dernières années connues. Le poids de 58% calculé sur 2023 est donc plutôt élevé, mais cela est habituel en fin de cycle municipal. Il est ainsi particulièrement fort l’année précédant les élections municipales (58 % en 2019, 57 % en 2013, 59 % en 2007).
Historiquement, on évoquait une part de 70 % pour l’investissement local. Cette différence s’explique par des choix méthodologiques :
- Les dépenses de recherche et développement étaient auparavant exclues dans le calcul de cette part.
- De nouvelles dépenses ont été intégrées dans les APU lors du passage des comptes nationaux en base 2020 (SNCF Réseau, audiovisuel public, R&D hospitalière…).
L’investissement mesuré correspond aux acquisitions moins cessions d’actifs non financiers, composées très majoritairement de la formation brute de capital fixe (FBCF) ainsi que, à la marge (3 Md€ en 2023), d’autres acquisitions nettes d’actifs (objets de valeur, ressources naturelles, contrats, licences, etc.). Cette définition ne prend pas en compte les autres dépenses d’investissement que sont les subventions d’équipement versées à des tiers et les remboursements de dette.
L’investissement public local est un pilier du développement des territoires : son niveau est essentiel pour assurer la continuité de nos services publics et faire face aux enjeux sociaux et écologiques majeurs.
OFGL - Note complète
Cette part dans l’investissement civil est relativement stable dans le temps et oscille entre 52% et 60% sur les 30 dernières années connues. Le poids de 58% calculé sur 2023 est donc plutôt élevé, mais cela est habituel en fin de cycle municipal. Il est ainsi particulièrement fort l’année précédant les élections municipales (58 % en 2019, 57 % en 2013, 59 % en 2007).
Historiquement, on évoquait une part de 70 % pour l’investissement local. Cette différence s’explique par des choix méthodologiques :
- Les dépenses de recherche et développement étaient auparavant exclues dans le calcul de cette part.
- De nouvelles dépenses ont été intégrées dans les APU lors du passage des comptes nationaux en base 2020 (SNCF Réseau, audiovisuel public, R&D hospitalière…).
L’investissement mesuré correspond aux acquisitions moins cessions d’actifs non financiers, composées très majoritairement de la formation brute de capital fixe (FBCF) ainsi que, à la marge (3 Md€ en 2023), d’autres acquisitions nettes d’actifs (objets de valeur, ressources naturelles, contrats, licences, etc.). Cette définition ne prend pas en compte les autres dépenses d’investissement que sont les subventions d’équipement versées à des tiers et les remboursements de dette.
L’investissement public local est un pilier du développement des territoires : son niveau est essentiel pour assurer la continuité de nos services publics et faire face aux enjeux sociaux et écologiques majeurs.
OFGL - Note complète
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