
Le conseil national des politiques de lutte contre la pauvreté et l’exclusion sociale (CNLE) publie ce jour, son rapport Faire de la transition écologique un levier de l’inclusion sociale - l’impact social de l’écologie, réalisé en partenariat avec l’Agence de l’environnement et de la maîtrise de l’énergie (Ademe) et le soutien du Centre national de la recherche scientifique (CNRS).
Ce rapport entend montrer que si elle est bénéfique pour les plus modestes, particulièrement exposés aux conséquences du dérèglement climatique, la transition écologique est également porteuse de risques sociaux qu’il convient d’anticiper et de prévenir.
Le rapport s’ouvre sur l’état des inégalités socio-environnementales, puis interroge la capacité d’adaptation des populations les plus modestes, avant de formuler des recommandations pour mieux accorder la transition écologique avec les objectifs de lutte contre la pauvreté et les inégalités sociales.
Dans les messages principaux mis en avant dans ce rapport il y en a un qui paraît central : il serait injuste et inéquitable de ne pas faire la transition écologique. Pour le CNLE, l’accompagnement des personnes pauvres et modestes est nécessaire pour réussir cette transition.
Réalisé dans une démarche participative, ce rapport a pris le parti de concilier connaissances scientifiques, associatives, institutionnelles et participation des personnes concernées, en lien avec l’apport du comité scientifique du CNLE.
Le rapport s’appuie sur des travaux de référence, les auditions d’experts réalisées par le groupe de travail et des contributions originales commandées par le CNLE.
La question environnementale est une préoccupation nouvelle pour le CNLE. Après une démarche qui aura duré plus de deux ans, ce rapport n’est qu’une première étape pour le CNLE, qui poursuivra ses travaux sur le sujet, notamment sur l’accès à l’alimentation durable et à ses enjeux sociaux, à la définition de recommandations sectorielles opérationnelles et à l’identification de bonnes pratiques consensuelles.
CNLE - Rapport
Synthèse du rapport
Ce rapport entend montrer que si elle est bénéfique pour les plus modestes, particulièrement exposés aux conséquences du dérèglement climatique, la transition écologique est également porteuse de risques sociaux qu’il convient d’anticiper et de prévenir.
Le rapport s’ouvre sur l’état des inégalités socio-environnementales, puis interroge la capacité d’adaptation des populations les plus modestes, avant de formuler des recommandations pour mieux accorder la transition écologique avec les objectifs de lutte contre la pauvreté et les inégalités sociales.
Dans les messages principaux mis en avant dans ce rapport il y en a un qui paraît central : il serait injuste et inéquitable de ne pas faire la transition écologique. Pour le CNLE, l’accompagnement des personnes pauvres et modestes est nécessaire pour réussir cette transition.
Réalisé dans une démarche participative, ce rapport a pris le parti de concilier connaissances scientifiques, associatives, institutionnelles et participation des personnes concernées, en lien avec l’apport du comité scientifique du CNLE.
Le rapport s’appuie sur des travaux de référence, les auditions d’experts réalisées par le groupe de travail et des contributions originales commandées par le CNLE.
La question environnementale est une préoccupation nouvelle pour le CNLE. Après une démarche qui aura duré plus de deux ans, ce rapport n’est qu’une première étape pour le CNLE, qui poursuivra ses travaux sur le sujet, notamment sur l’accès à l’alimentation durable et à ses enjeux sociaux, à la définition de recommandations sectorielles opérationnelles et à l’identification de bonnes pratiques consensuelles.
CNLE - Rapport
Synthèse du rapport
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