Principales tendances
1. Evolution de la nature des financements publics : baisse des subventions et hausse de la commande publique
2. Développement des logiques d’alliance, de fusions, de regroupements et de mutualisations
3. Porosité des frontières entre l’économique et le social : développement de modèles économiques alternatifs et de nouveaux outils de financement
4. Montée de la paupérisation et de la précarité : augmentation de la demande sociale et capacité de réponse des associations inversement proportionnelle
5. Evolution des ressources et des richesses humaines au sein des associations : maintien de fort taux d’engagement, modification de la nature du bénévolat, professionnalisation accrue
Principales données
1. Financements publics : plus de commandes et moins de subventions
2. L’hybridation des moyens : une tendance au long cours
Scénarios d’évolution
Au croisement de ces tendances se dessinent une série d’évolutions possibles du modèle socio-économique des associations, qu’il importe de savoir appréhender. Distinguer ce qu’elles recèlent d’opportunités et de menaces, doit permettre de "composer avec", dans le respect de ses valeurs. Nous en développerons quatre.
1. "Chacun pour soi et personne pour tous"
2. "En dehors de la subvention, point de salut"
3. "Coopérons pour être partenaire des politiques"
4. "Social business as usual"
Concernant les évolutions du modèle socio-économique, quatre enjeux semblent émerger. Ces enjeux désignent des questions prioritaires renvoyant à un gain ou une perte possibles, auxquelles les associations doivent s’efforcer d’apporter une réponse.
1. Réaliser des alliances entre acteurs de l’ESS et avec les autres acteurs économiques ainsi que les acteurs publics, dans le respect de ce qui fonde les valeurs associatives, ses principes et ses modèles.
2. Sortir des logiques de chacun pour soi pour réaliser des hybridations financières tenant compte des nouveaux modes de fonctionnement en matière de gouvernance, des nouveaux outils et des nouvelles formes d’engagement.
3. Garantir l’autonomie et l’indépendance des associations pour préserver leur marge d’innovation.
4. Connaître et faire (re)connaître le savoir, savoir-faire et les valeurs des associations comme moteurs de l’innovation sociale et en matière de gouvernance et de professionnalisation.
FONDA - 2015-07-28
http://www.fonda.asso.fr/Note-d-analyse-L-avenir-des.html
1. Evolution de la nature des financements publics : baisse des subventions et hausse de la commande publique
2. Développement des logiques d’alliance, de fusions, de regroupements et de mutualisations
3. Porosité des frontières entre l’économique et le social : développement de modèles économiques alternatifs et de nouveaux outils de financement
4. Montée de la paupérisation et de la précarité : augmentation de la demande sociale et capacité de réponse des associations inversement proportionnelle
5. Evolution des ressources et des richesses humaines au sein des associations : maintien de fort taux d’engagement, modification de la nature du bénévolat, professionnalisation accrue
Principales données
1. Financements publics : plus de commandes et moins de subventions
2. L’hybridation des moyens : une tendance au long cours
Scénarios d’évolution
Au croisement de ces tendances se dessinent une série d’évolutions possibles du modèle socio-économique des associations, qu’il importe de savoir appréhender. Distinguer ce qu’elles recèlent d’opportunités et de menaces, doit permettre de "composer avec", dans le respect de ses valeurs. Nous en développerons quatre.
1. "Chacun pour soi et personne pour tous"
2. "En dehors de la subvention, point de salut"
3. "Coopérons pour être partenaire des politiques"
4. "Social business as usual"
Concernant les évolutions du modèle socio-économique, quatre enjeux semblent émerger. Ces enjeux désignent des questions prioritaires renvoyant à un gain ou une perte possibles, auxquelles les associations doivent s’efforcer d’apporter une réponse.
1. Réaliser des alliances entre acteurs de l’ESS et avec les autres acteurs économiques ainsi que les acteurs publics, dans le respect de ce qui fonde les valeurs associatives, ses principes et ses modèles.
2. Sortir des logiques de chacun pour soi pour réaliser des hybridations financières tenant compte des nouveaux modes de fonctionnement en matière de gouvernance, des nouveaux outils et des nouvelles formes d’engagement.
3. Garantir l’autonomie et l’indépendance des associations pour préserver leur marge d’innovation.
4. Connaître et faire (re)connaître le savoir, savoir-faire et les valeurs des associations comme moteurs de l’innovation sociale et en matière de gouvernance et de professionnalisation.
FONDA - 2015-07-28
http://www.fonda.asso.fr/Note-d-analyse-L-avenir-des.html
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