Fin 2013 le parc de logements en France métropolitaine comptait 28 millions de résidences principales. Plus de la moitié de ces logements (58 %) étaient occupés par des ménages propriétaires dont près de 20 % d’accédants. Après avoir augmenté dans les années 1990 et 2000, le flux annuel des acquéreurs récents est revenu à des niveaux plus faibles.
15 % des ménages considéraient leurs conditions de logement comme insuffisantes ou très insuffisantes en 1973, ils ne sont plus que 6 % en 2013. Plus de la moitié des ménages qui déclarent vouloir changer de logement envisagent de rechercher un logement plus grand et 1,4 million de ménages ont déposé ou renouvelé une demande de logement en HLM au cours des douze derniers mois, en hausse par rapport aux décennies précédentes.
2,7 millions de ménages vivent en situation de surpeuplement. Si ce dernier continue à baisser dans l’habitat individuel, il connaît une remontée dans le collectif. Certains logements présentent également des défauts, susceptibles de porter atteinte à la sécurité ou à la santé de leurs occupants. Les plus fréquents sont la présence d'humidité, les infiltrations d'eau, les fenêtres qui laissent passer l'air, la mauvaise isolation thermique des toits ou des murs.
Insee Première N° 1546 - 2015-04-28
http://www.insee.fr/fr/themes/document.asp?id=4637®_id=0
15 % des ménages considéraient leurs conditions de logement comme insuffisantes ou très insuffisantes en 1973, ils ne sont plus que 6 % en 2013. Plus de la moitié des ménages qui déclarent vouloir changer de logement envisagent de rechercher un logement plus grand et 1,4 million de ménages ont déposé ou renouvelé une demande de logement en HLM au cours des douze derniers mois, en hausse par rapport aux décennies précédentes.
2,7 millions de ménages vivent en situation de surpeuplement. Si ce dernier continue à baisser dans l’habitat individuel, il connaît une remontée dans le collectif. Certains logements présentent également des défauts, susceptibles de porter atteinte à la sécurité ou à la santé de leurs occupants. Les plus fréquents sont la présence d'humidité, les infiltrations d'eau, les fenêtres qui laissent passer l'air, la mauvaise isolation thermique des toits ou des murs.
Insee Première N° 1546 - 2015-04-28
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