
Le Centre national du cinéma et de l’image animée (CNC) a dévoilé une étude dont l’objectif est double : identifier les raisons de l’atonie persistante de la fréquentation des salles et mettre à jour les leviers possibles d’une reconquête du public.
Fréquentation “en berne”. Le constat est sans appel : mesurée après la réouverture post-Covid des salles, la fréquentation en 2021 a baissé de 55%. Et les chiffres des premiers mois de 2022 n’enregistrent qu’une timide quoique réelle reprise.
Les raisons d’une désaffection. L’étude du CNC donne cinq réponses : ils ont perdu l’habitude d’aller au cinéma (38% des réponses), les billets sont trop chers (36%), le maintien de l’obligation du masque constituait une gêne (33%), ils préfèrent regarder les films sur d’autre supports (26%), les films proposés manquent d’intérêt (23%).
Leviers d’action pour favoriser le retour du public.
Les raisons de la désaffection des salles indiquent déjà plusieurs pistes politiques pour l’endiguer, notamment des politiques tarifaires dont peuvent notamment s’emparer les collectivités, par exemple via des dispositifs de passes culturels, et des politiques de régulation qui, elles, relèvent davantage de l’Etat et/ou de l’Union européenne
FNCC >> Etude complète
Fréquentation “en berne”. Le constat est sans appel : mesurée après la réouverture post-Covid des salles, la fréquentation en 2021 a baissé de 55%. Et les chiffres des premiers mois de 2022 n’enregistrent qu’une timide quoique réelle reprise.
Les raisons d’une désaffection. L’étude du CNC donne cinq réponses : ils ont perdu l’habitude d’aller au cinéma (38% des réponses), les billets sont trop chers (36%), le maintien de l’obligation du masque constituait une gêne (33%), ils préfèrent regarder les films sur d’autre supports (26%), les films proposés manquent d’intérêt (23%).
Leviers d’action pour favoriser le retour du public.
Les raisons de la désaffection des salles indiquent déjà plusieurs pistes politiques pour l’endiguer, notamment des politiques tarifaires dont peuvent notamment s’emparer les collectivités, par exemple via des dispositifs de passes culturels, et des politiques de régulation qui, elles, relèvent davantage de l’Etat et/ou de l’Union européenne
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