La crise budgétaire et l’explosion des coûts de l’énergie peuvent conduire certains propriétaires à fermer/limiter/baisser les températures de certains équipements. Dans ce contexte, de nombreux collègues s’interrogent sur les températures minimales pour enseigner l’EPS. Cela se comprend, car en plus des activités extérieures, il n’est pas rare d’être confronté à des gymnases pas ou très mal chauffés.
Aucun texte réglementaire ne fixe de température minimale pour l’EPS.
Cependant le Ministère de l’Education Nationale a élaboré un document avec la cellule du bâti scolaire intégrant une fiche « SALLES D’ACTIVITÉS PHYSIQUES ET SPORTIVES » qui fait des préconisations de limite minimale de température à 16°C.
En tout état de cause, c’est l’enseignant responsable de ses élèves, qui détermine si les conditions climatiques, de températures, sont de nature à présenter des risques pour la santé ou l’intégrité physique des élèves. Par exemple : risques de glissades, sols trop durs en extérieur, risques d’accidents musculaires, articulaires…, y compris en intérieur et du fait des activités pratiquées. Il peut constater l’impossibilité d’enseigner dans de telles conditions.
L’équipe EPS doit intervenir auprès du chef d’établissement, du gestionnaire des installations, en s’appuyant aussi sur l’action des parents (premiers concernés par la santé de leurs enfants), afin d’obtenir des solutions allant dans l’intérêt des jeunes et de la qualité de l’EPS.
LE SNEP-FSU met à disposition un kit pour agir
SNEP-FSU - Dossier complet
Aucun texte réglementaire ne fixe de température minimale pour l’EPS.
Cependant le Ministère de l’Education Nationale a élaboré un document avec la cellule du bâti scolaire intégrant une fiche « SALLES D’ACTIVITÉS PHYSIQUES ET SPORTIVES » qui fait des préconisations de limite minimale de température à 16°C.
En tout état de cause, c’est l’enseignant responsable de ses élèves, qui détermine si les conditions climatiques, de températures, sont de nature à présenter des risques pour la santé ou l’intégrité physique des élèves. Par exemple : risques de glissades, sols trop durs en extérieur, risques d’accidents musculaires, articulaires…, y compris en intérieur et du fait des activités pratiquées. Il peut constater l’impossibilité d’enseigner dans de telles conditions.
L’équipe EPS doit intervenir auprès du chef d’établissement, du gestionnaire des installations, en s’appuyant aussi sur l’action des parents (premiers concernés par la santé de leurs enfants), afin d’obtenir des solutions allant dans l’intérêt des jeunes et de la qualité de l’EPS.
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