
Lundi 14 décembre 2020, Philippe BOLO, député, et Angèle PRÉVILLE, sénatrice, ont présenté à la presse, en téléconférence, les conclusions de leur rapport d'information sur la pollution plastique, fait au nom de l'OPECST, dont le Président est Cédric VILLANI, député, et le Premier vice-président est Gérard LONGUET, sénateur.
Des emballages à usage unique aux plastiques les plus techniques dans le secteur des transports ou de la construction, le plastique imprègne nos sociétés. Le coût pour l’environnement de cet emballement de la consommation est immense. Or, la production actuelle de plastiques (360 millions de tonnes) devrait doubler d’ici 2050.
Que faire ?
Les images chocs de villages asiatiques submergés par les déchets plastiques ou encore de mammifères marins étranglés par un engin de pêche témoignent avec force de l’impact de la pollution plastique sur la santé humaine et sur les écosystèmes.
Mais ne sont-elles pas réductrices ? La pollution plastique est-elle liée uniquement à une mauvaise gestion de la fin de vie des macrodéchets ? N’existe-t-il pas d’autres formes de pollutions plastiques moins visibles mais tout aussi préoccupantes ? Et dans ce cas, ne faut-il pas penser autrement notre stratégie de lutte contre la pollution plastique axée principalement sur l’amélioration du recyclage ?
Autant de questions auxquelles le rapport tente d’apporter des réponses, étayées par les travaux scientifiques les plus récents sur le sujet.
Le rapport
L'Essentiel
L'infographie
Des emballages à usage unique aux plastiques les plus techniques dans le secteur des transports ou de la construction, le plastique imprègne nos sociétés. Le coût pour l’environnement de cet emballement de la consommation est immense. Or, la production actuelle de plastiques (360 millions de tonnes) devrait doubler d’ici 2050.
Que faire ?
Les images chocs de villages asiatiques submergés par les déchets plastiques ou encore de mammifères marins étranglés par un engin de pêche témoignent avec force de l’impact de la pollution plastique sur la santé humaine et sur les écosystèmes.
Mais ne sont-elles pas réductrices ? La pollution plastique est-elle liée uniquement à une mauvaise gestion de la fin de vie des macrodéchets ? N’existe-t-il pas d’autres formes de pollutions plastiques moins visibles mais tout aussi préoccupantes ? Et dans ce cas, ne faut-il pas penser autrement notre stratégie de lutte contre la pollution plastique axée principalement sur l’amélioration du recyclage ?
Autant de questions auxquelles le rapport tente d’apporter des réponses, étayées par les travaux scientifiques les plus récents sur le sujet.
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