Dans un contexte de croissance des inégalités dans les pays de l’OCDE, l’accueil et l’éducation des jeunes enfants est l’un des meilleurs outils qui permettent de compenser les inégalités sociales et ce, dès le plus jeune âge.
De nombreuses études ont montré l’impact positif à long terme des services d’accueil et d’éducation des jeunes enfants sur le développement et l'apprentissage des enfants, leur réussite scolaire (y compris pour les plus démunis), et, plus tard, sur l’accès au marché de l'emploi et la mobilité socio-économique. Ainsi, selon l’enquête PISA, les élèves de 15 ans qui ont été scolarisés pendant au moins un an dans un programme d’éducation pré-primaire tendent à obtenir de meilleurs résultats que les élèves qui ne l’ont pas été.
En France, près de la moitié des enfants de moins de deux ans sont inscrits dans des modes d’accueil formels, la scolarisation est généralisée dès l’âge de 3 ans, et les dépenses publiques dans ces domaines représentent 1.2% du PIB en 2011 (0.8% dans les pays de l’OCDE). La France est l’un des pays qui investit le plus dans les structures formelles d’accueil et d’éducation du jeune enfant. Mais peu de données comparatives détaillées existent pour savoir dans quelles conditions et sur quels aspects l’éducation et l’accueil des jeunes enfants sont les plus bénéfiques pour l’enfant.
OCDE - 2015-01-16
De nombreuses études ont montré l’impact positif à long terme des services d’accueil et d’éducation des jeunes enfants sur le développement et l'apprentissage des enfants, leur réussite scolaire (y compris pour les plus démunis), et, plus tard, sur l’accès au marché de l'emploi et la mobilité socio-économique. Ainsi, selon l’enquête PISA, les élèves de 15 ans qui ont été scolarisés pendant au moins un an dans un programme d’éducation pré-primaire tendent à obtenir de meilleurs résultats que les élèves qui ne l’ont pas été.
En France, près de la moitié des enfants de moins de deux ans sont inscrits dans des modes d’accueil formels, la scolarisation est généralisée dès l’âge de 3 ans, et les dépenses publiques dans ces domaines représentent 1.2% du PIB en 2011 (0.8% dans les pays de l’OCDE). La France est l’un des pays qui investit le plus dans les structures formelles d’accueil et d’éducation du jeune enfant. Mais peu de données comparatives détaillées existent pour savoir dans quelles conditions et sur quels aspects l’éducation et l’accueil des jeunes enfants sont les plus bénéfiques pour l’enfant.
OCDE - 2015-01-16
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