
La Convention de Ramsar sur les milieux humides est un traité intergouvernemental adopté le 2 février 1971 à Ramsar en Iran. Entrée en vigueur en 1975, elle regroupe aujourd’hui 172 pays. Il s’agit de la première - et toujours de la seule - convention internationale portant sur un type d’écosystème.
En 2015, la Convention a créé un nouveau label pour récompenser les collectivités qui ont mis en place dans leur aménagement des politiques exemplaires de gestion durable de ces milieux précieux et fragiles que sont les milieux humides : le label « Ville des zones humides accréditée par la convention de Ramsar » ou « Ville Ramsar ».
L’urbanisation étant l’une des causes majeures de dégradation et de disparition des milieux humides alors même que ces derniers constituent de formidables « solutions fondées sur la nature » pour des territoires équilibrés, résilients, durables, il est apparu essentiel d’identifier et de mettre en valeur dans le monde entier les collectivités qui intègrent les zones humides dans leur aménagement comme des atouts et savent les préserver et les valoriser. Cela doit permettre non seulement de valoriser les lauréats, mais aussi de diffuser largement ces bonnes pratiques.
À ce jour, ce nouveau réseau compte 43 villes labellisées dans 17 pays, dont 6 en France : Amiens (Somme), Courteranges (Aube), Pont-Audemer (Eure), Saint-Omer (Pas-de-Calais), Belval-en-Argonne (Marne), et Seltz (Bas-Rhin).
Le programme du Congrès, qui se déroule donc sur 3 jours, est très riche et abordera les nombreux enjeux d’un aménagement urbain intégrant les milieux aquatiques et humides
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En 2015, la Convention a créé un nouveau label pour récompenser les collectivités qui ont mis en place dans leur aménagement des politiques exemplaires de gestion durable de ces milieux précieux et fragiles que sont les milieux humides : le label « Ville des zones humides accréditée par la convention de Ramsar » ou « Ville Ramsar ».
L’urbanisation étant l’une des causes majeures de dégradation et de disparition des milieux humides alors même que ces derniers constituent de formidables « solutions fondées sur la nature » pour des territoires équilibrés, résilients, durables, il est apparu essentiel d’identifier et de mettre en valeur dans le monde entier les collectivités qui intègrent les zones humides dans leur aménagement comme des atouts et savent les préserver et les valoriser. Cela doit permettre non seulement de valoriser les lauréats, mais aussi de diffuser largement ces bonnes pratiques.
À ce jour, ce nouveau réseau compte 43 villes labellisées dans 17 pays, dont 6 en France : Amiens (Somme), Courteranges (Aube), Pont-Audemer (Eure), Saint-Omer (Pas-de-Calais), Belval-en-Argonne (Marne), et Seltz (Bas-Rhin).
Le programme du Congrès, qui se déroule donc sur 3 jours, est très riche et abordera les nombreux enjeux d’un aménagement urbain intégrant les milieux aquatiques et humides
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