
La part des revenus que reçoivent les plus pauvres s’amenuise. Les 10 % du bas de l’échelle des revenus en perçoivent seulement 3,5 % en 2019 selon l’Insee, contre 3,8 % en 2002. Cette baisse de 0,3 point de pourcentage parait faible, mais elle est énorme si on la mesure en euros.
Entre 2008 et 2017, le niveau de vie maximum déclaré par les 10 % les plus pauvres a baissé de 727 à 630 euros par mois. Une perte de pouvoir d’achat de 13 %. Principalement, ces revenus proviennent de l’activité, des retraites ou des indemnités chômage.
Pour un grand nombre de personnes, ce sont ces revenus du travail qui comptent le plus car ils ne relèvent pas de la solidarité nationale.
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Entre 2008 et 2017, le niveau de vie maximum déclaré par les 10 % les plus pauvres a baissé de 727 à 630 euros par mois. Une perte de pouvoir d’achat de 13 %. Principalement, ces revenus proviennent de l’activité, des retraites ou des indemnités chômage.
Pour un grand nombre de personnes, ce sont ces revenus du travail qui comptent le plus car ils ne relèvent pas de la solidarité nationale.
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