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L’association AMARIS était présente, en qualité d’observatrice, pour assister à la première expérimentation du cellbroadcast , le 17 mai. Pour mémoire, cette technologie permet d’envoyer des notifications sur les smartphones pour alerter les populations dans un périmètre choisi. Elle permet de donner des consignes à toutes les personnes présentes dans une zone ou y entrant.
L’expérimentation réussie du 17 mai
Sur ces territoires, à la faveur du développement des scénarios d’exercice, les différents moyens d’alerte ont été actionnés : sirènes PPI, messages sur les panneaux lumineux, message par automate d’appel, etc. et le cellbroadcast. Ces tests ont permis de constater que techniquement le système fonctionne. Les principales questions techniques sont donc levées.
Jusqu’à la fin du mois de juin, 3 autres expérimentations sont prévues dont une le 7 juin à Feyzin et Solaize . Nous les suivrons car, outre les aspects techniques, d’autres points stratégiques nous intéressent notamment la cinétique d’envoi des notifications.
Un des enjeux est de gagner en rapidité pour limiter l’exposition des populations. Pour y répondre, il faudra également se poser la question de l’acteur le mieux placé pour utiliser cet outil.
En fonction des événements, le maire ou l’industriel pourraient être particulièrement pertinents
AMARIS >> Dossier complet
L’expérimentation réussie du 17 mai
Sur ces territoires, à la faveur du développement des scénarios d’exercice, les différents moyens d’alerte ont été actionnés : sirènes PPI, messages sur les panneaux lumineux, message par automate d’appel, etc. et le cellbroadcast. Ces tests ont permis de constater que techniquement le système fonctionne. Les principales questions techniques sont donc levées.
Jusqu’à la fin du mois de juin, 3 autres expérimentations sont prévues dont une le 7 juin à Feyzin et Solaize . Nous les suivrons car, outre les aspects techniques, d’autres points stratégiques nous intéressent notamment la cinétique d’envoi des notifications.
Un des enjeux est de gagner en rapidité pour limiter l’exposition des populations. Pour y répondre, il faudra également se poser la question de l’acteur le mieux placé pour utiliser cet outil.
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