
Les résultats de ce Baromètre font écho à la grande enquête lancée par l’UNML en lien avec France Stratégie et le Céreq entre le 15 et le 21 juin 2020 et rassemblant plus de 24 000 réponses. Lors de cette enquête de sortie du confinement, 33 % des jeunes se disaient inquiets pour leur avenir.
Ce chiffre est en augmentation puisqu’ici près de 42 % des jeunes déclarent être plutôt ou très inquiets. La durée de la crise sanitaire et ses conséquences multifactorielles peuvent avoir affecté le moral des jeunes et leur perception de l’avenir.
Les raisons de l’inquiétude des jeunes
Lors de l’enquête précédente menée avec France Stratégie et le Céreq, 75 % des jeunes craignaient de ne pas trouver un emploi à cause de la crise, 36 % d’entre eux déclaraient avoir perdu confiance en eux ainsi que leur motivation et 26 % déploraient que leur projet soit «tombé à l’eau». Cette enquête révèle que les proportions et les raisons de l’inquiétude des jeunes concernant leur avenir perdurent dans le temps et ne se sont pas estompées depuis l’enquête menée en juin 2020.
Focus sur les conditions de vie des jeunes inquiets durant la période de crise sanitaire
En isolant les réponses des 42 % de jeunes se déclarant inquiets (plutôt inquiets et très inquiets) du fait de la crise sanitaire et de ses conséquences, ces derniers déclarent que les situations les plus difficiles à vivre durant cette période de crise sont liées aux difficultés à trouver un emploi (68 %) et à leurs conditions financières (53 %). Cela représente respectivement 11 points et 10 points de plus que l’ensemble de l’échantillon de répondants. En outre, ce sont les jeunes ayant des difficultés relatives au logement qui se déclarent le plus souvent «très inquiets» pour leur avenir (+ 6 points par rapport à l’échantillon total). Ainsi, l’inquiétude des jeunes face à l’avenir est principalement liée à la précarité de leur situation et de leur condition matérielle de vie (face aux difficultés à trouver un emploi, à avoir un revenu et à avoir un logement stable), qui ne leur permettent pas de se projeter sereinement
UNML - Synthèse complète
Ce chiffre est en augmentation puisqu’ici près de 42 % des jeunes déclarent être plutôt ou très inquiets. La durée de la crise sanitaire et ses conséquences multifactorielles peuvent avoir affecté le moral des jeunes et leur perception de l’avenir.
Les raisons de l’inquiétude des jeunes
Lors de l’enquête précédente menée avec France Stratégie et le Céreq, 75 % des jeunes craignaient de ne pas trouver un emploi à cause de la crise, 36 % d’entre eux déclaraient avoir perdu confiance en eux ainsi que leur motivation et 26 % déploraient que leur projet soit «tombé à l’eau». Cette enquête révèle que les proportions et les raisons de l’inquiétude des jeunes concernant leur avenir perdurent dans le temps et ne se sont pas estompées depuis l’enquête menée en juin 2020.
Focus sur les conditions de vie des jeunes inquiets durant la période de crise sanitaire
En isolant les réponses des 42 % de jeunes se déclarant inquiets (plutôt inquiets et très inquiets) du fait de la crise sanitaire et de ses conséquences, ces derniers déclarent que les situations les plus difficiles à vivre durant cette période de crise sont liées aux difficultés à trouver un emploi (68 %) et à leurs conditions financières (53 %). Cela représente respectivement 11 points et 10 points de plus que l’ensemble de l’échantillon de répondants. En outre, ce sont les jeunes ayant des difficultés relatives au logement qui se déclarent le plus souvent «très inquiets» pour leur avenir (+ 6 points par rapport à l’échantillon total). Ainsi, l’inquiétude des jeunes face à l’avenir est principalement liée à la précarité de leur situation et de leur condition matérielle de vie (face aux difficultés à trouver un emploi, à avoir un revenu et à avoir un logement stable), qui ne leur permettent pas de se projeter sereinement
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