Traduction de la volonté de l’Union européenne à s’engager en faveur de l’emploi des jeunes, l’initiative européenne pour la jeunesse (IEJ) vise à offrir un parcours d’insertion professionnelle et sociale aux jeunes Européens les plus en difficulté. Elle doit concourir à la mise en œuvre de la Garantie européenne pour la jeunesse, selon la recommandation du Conseil de l’Union européenne du 22 avril 2013.
Dans le cadre de la stratégie européenne et conformément au Plan français de mise en œuvre de la garantie pour la jeunesse, les crédits alloués à la France au titre de l’IEJ seront mobilisés pour le renforcement de l’activation et de l’intervention précoce et pour permettre à un plus grand nombre de jeunes sans emploi et ne suivant ni études ni formation de bénéficier des dispositifs d’accompagnement et d’actions de formation…
Ministère du Travail, de l'Emploi, de la Formation professionnelle - 2015-04-23
Dans le cadre de la stratégie européenne et conformément au Plan français de mise en œuvre de la garantie pour la jeunesse, les crédits alloués à la France au titre de l’IEJ seront mobilisés pour le renforcement de l’activation et de l’intervention précoce et pour permettre à un plus grand nombre de jeunes sans emploi et ne suivant ni études ni formation de bénéficier des dispositifs d’accompagnement et d’actions de formation…
Ministère du Travail, de l'Emploi, de la Formation professionnelle - 2015-04-23
Dans la même rubrique
-
Actu - La Région Grand Est et la Caisse des Dépôts se mobilisent pour l’insertion professionnelle des demandeurs d’emploi de plus de 55 ans
-
JORF - Réforme de la répartition des fonds de la formation professionnelle : impacts sur les régions et le CNFPT
-
JORF - Financement des transitions professionnelles : nouvelles règles de répartition et de plafonnement pour les CPIR
-
Doc - L’expérimentation « Territoire zéro chômeur de longue durée » : un dispositif utile localement mais couteux
-
Doc - L’effet de la parentalité sur le taux d’activité des mères immigrées et descendantes d’immigrées ne dépend pas de leur opinion sur les inégalités de genre sur le marché du travail