
Quel point commun entre Tom Cruise, Carrie Fisher, Barack Obama, Gal Gadot et Emmanuel Macron ? Ils ont été victimes de deepfakes. Les deepfakes ou comment coller numériquement un visage sur le corps d’un autre et lui faire dire tout et n’importe quoi.
Face à ce phénomène qui n’est plus anecdotique, le gouvernement et le Conseil constitutionnel s’inquiètent déjà des dérives possibles de personnes mal intentionnées et de l’impact que cela pourrait occasionner lors des prochaines élections présidentielles.
Nous aussi, communicants publics, nous serons bientôt confrontés à la diffusion sur les réseaux sociaux de fausses déclarations de nos élus.
Ces infox vidéo qui nous font sourire aujourd’hui nous feront peut-être grimacer demain. Alors, deepfakes et fakenews, même combat ? En constatant l’effet dévastateur que les infox produisent déjà aujourd’hui sur une partie de la population, nous pouvons légitimement nous inquiéter de l’usage qui pourrait être fait de ces détournements.
Et nous savons que l’exposition massive de fausses informations finit toujours par créer le doute. Il s’agit d’ores et déjà de s’armer pour créer les parades nécessaires. Des outils permettraient déjà d’identifier les deepfakes en analysant la rétine des yeux. Gageons que les progrès fulgurants du numérique corrigeront sous peu cette faille
CAP COM >> Note complète
Face à ce phénomène qui n’est plus anecdotique, le gouvernement et le Conseil constitutionnel s’inquiètent déjà des dérives possibles de personnes mal intentionnées et de l’impact que cela pourrait occasionner lors des prochaines élections présidentielles.
Nous aussi, communicants publics, nous serons bientôt confrontés à la diffusion sur les réseaux sociaux de fausses déclarations de nos élus.
Ces infox vidéo qui nous font sourire aujourd’hui nous feront peut-être grimacer demain. Alors, deepfakes et fakenews, même combat ? En constatant l’effet dévastateur que les infox produisent déjà aujourd’hui sur une partie de la population, nous pouvons légitimement nous inquiéter de l’usage qui pourrait être fait de ces détournements.
Et nous savons que l’exposition massive de fausses informations finit toujours par créer le doute. Il s’agit d’ores et déjà de s’armer pour créer les parades nécessaires. Des outils permettraient déjà d’identifier les deepfakes en analysant la rétine des yeux. Gageons que les progrès fulgurants du numérique corrigeront sous peu cette faille
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