De manière plutôt contre-intuitive, les transferts d’établissements pèsent relativement peu dans la dynamique économique des agglomérations françaises. En moyenne, leur taux de mouvement s’élève à "seulement" 3,1 %, ce qui apparaît tout à fait limité. De fortes disparités peuvent évidemment être observées entre agglomérations. Avec un taux de mouvement de 0,8 % et 1 %, les agglomérations du Centre Littoral et du Bassin d’Aurillac par exemple, apparaissent marquées par les plus faibles taux de mouvement. A l’opposé, les agglomérations Est Ensemble, Sénart en Essonne et de Clichy-Sous-Bois-Montfermeil affichent des ratios allant de 8,1 % à 10,2 %.
Au plus haut, ces mouvements ne représentent donc que 10,2 % du stock d’établissements ! Et ils ne concernent que des communautés très atypiques puisqu’elles sont insérées dans la vaste agglomération parisienne qui forme en soit un même bassin d’emploi. Les relocalisations répondent à un parcours résidentiel interne à la métropole parisienne, souvent pour des raisons d’opportunité foncière…
ADCF - 2016-07-08
Au plus haut, ces mouvements ne représentent donc que 10,2 % du stock d’établissements ! Et ils ne concernent que des communautés très atypiques puisqu’elles sont insérées dans la vaste agglomération parisienne qui forme en soit un même bassin d’emploi. Les relocalisations répondent à un parcours résidentiel interne à la métropole parisienne, souvent pour des raisons d’opportunité foncière…
ADCF - 2016-07-08
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