La lecture reste une activité laborieuse pour 9,4 % des jeunes qui parviennent cependant à compenser des acquis limités. L’activité de lecture, sans doute coûteuse sur le plan cognitif, ne constitue pas pour eux un moyen facile permettant d’enrichir efficacement leurs connaissances lexicales.
Les acquis en lecture sont très fragiles pour 9,9 % de l’ensemble des jeunes, qui de ce fait, n’accèdent pas à la compréhension des textes. Les jeunes les plus en difficulté (4,3 % de l’ensemble) se caractérisent par un déficit important de vocabulaire. Ils n’ont pu installer les mécanismes de base de la lecture et consacrent leur attention à la reconnaissance des mots plutôt qu’à leur sens. Ils peuvent être considérés en situation d’illettrisme, selon les critères de l’Agence nationale de lutte contre l’illettrisme (ANLCI).
Les jeunes en difficulté de lecture sont de moins en moins nombreux à mesure que s’élève leur niveau d’études. Près de 70 % d’entre eux n’ont pas dépassé le collège ou un cursus professionnel.
Les jeunes en grande difficulté de lecture sont plus fréquemment des garçons : leur part atteint 11,3 %, contre 8,4 % de filles. Alors que leurs performances lexicales sont égales à celles des filles, les garçons réussissent moins bien les épreuves de compréhension. Ces différences s’observent surtout aux niveaux d’études les moins élevés.
Ministère de l’Éducation nationale - 2016-05-18
Les acquis en lecture sont très fragiles pour 9,9 % de l’ensemble des jeunes, qui de ce fait, n’accèdent pas à la compréhension des textes. Les jeunes les plus en difficulté (4,3 % de l’ensemble) se caractérisent par un déficit important de vocabulaire. Ils n’ont pu installer les mécanismes de base de la lecture et consacrent leur attention à la reconnaissance des mots plutôt qu’à leur sens. Ils peuvent être considérés en situation d’illettrisme, selon les critères de l’Agence nationale de lutte contre l’illettrisme (ANLCI).
Les jeunes en difficulté de lecture sont de moins en moins nombreux à mesure que s’élève leur niveau d’études. Près de 70 % d’entre eux n’ont pas dépassé le collège ou un cursus professionnel.
Les jeunes en grande difficulté de lecture sont plus fréquemment des garçons : leur part atteint 11,3 %, contre 8,4 % de filles. Alors que leurs performances lexicales sont égales à celles des filles, les garçons réussissent moins bien les épreuves de compréhension. Ces différences s’observent surtout aux niveaux d’études les moins élevés.
Ministère de l’Éducation nationale - 2016-05-18
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