
Activité physique délaissée, multiplicité des moyens de transport, explosion du temps d’écran, la sédentarité est devenue la norme des enfants et adolescents. Accentué par les confinements successifs, le phénomène est aujourd’hui un sujet de préoccupation majeur car les conséquences pourraient être désastreuses.
Du lit à la chaise de l’école, en passant par le siège du bus ou de la voiture parentale puis par le canapé devant la télévision ou les smartphones... cette routine quotidienne, devenue la même pour un large nombre d’enfants et d’adolescents, est dans le viseur des autorités sanitaires. Une nouvelle génération trop sédentaire et trop peu active, c’est ce que relèvent plusieurs études récentes publiées par l’Observatoire national de l’activité physique et de la sédentarité (Onaps) et l’Agence nationale sécurité sanitaire alimentaire nationale (Anses). Et les résultats sont alarmants.
Selon l’expertise menée par l’Anses , publiée en novembre 2020, 66 % des jeunes interrogés de 11 à 17 ans "présentent un risque sanitaire préoccupant". Ceux-ci se situent au-dessus des deux heures d’écran recommandées par jour par l’Anses , et en-dessous des 60 minutes d’activité physique quotidiennes. Et "49 % présentent un risque sanitaire très élevé, caractérisé par des seuils plus sévères, soit plus de 4h30 de temps écran journalier et/ou moins de 20 minutes d’activité physique par jour", ajoute l’enquête.
Au sommaire
Le confinement, un accélérateur de sédentarité
Une espérance de vie raccourcie
Les écrans, pas les seuls coupables
Des conséquences parfois irréversibles
Mieux éduquer à l’activité physique
Source >> France TV Infos
Du lit à la chaise de l’école, en passant par le siège du bus ou de la voiture parentale puis par le canapé devant la télévision ou les smartphones... cette routine quotidienne, devenue la même pour un large nombre d’enfants et d’adolescents, est dans le viseur des autorités sanitaires. Une nouvelle génération trop sédentaire et trop peu active, c’est ce que relèvent plusieurs études récentes publiées par l’Observatoire national de l’activité physique et de la sédentarité (Onaps) et l’Agence nationale sécurité sanitaire alimentaire nationale (Anses). Et les résultats sont alarmants.
Selon l’expertise menée par l’Anses , publiée en novembre 2020, 66 % des jeunes interrogés de 11 à 17 ans "présentent un risque sanitaire préoccupant". Ceux-ci se situent au-dessus des deux heures d’écran recommandées par jour par l’Anses , et en-dessous des 60 minutes d’activité physique quotidiennes. Et "49 % présentent un risque sanitaire très élevé, caractérisé par des seuils plus sévères, soit plus de 4h30 de temps écran journalier et/ou moins de 20 minutes d’activité physique par jour", ajoute l’enquête.
Au sommaire
Le confinement, un accélérateur de sédentarité
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