
Depuis le 1er janvier, les transports en Ile-de-France sont passés de plusieurs dizaines de milliers de tarifs à trois : 2,50 euros pour le réseau ferré (métro, RER ou train, quelles que soient la distance et l’origine de destination), 2 euros pour les trajets en bus, car express et tram et, enfin, 13 euros pour rejoindre les deux aéroports, Orly et Roissy-Charles-de-Gaulle.
C’est une augmentation de prix sensible pour les utilisateurs du métro : avant le changement, le carnet de 10 tickets de métro ou bus, dits T+, était à 17,35 euros. Mais c’est une économie massive pour les Franciliens hors Paris ou les trajets de banlieue à banlieue. Ils payaient leur trajet plus cher, à des prix variables allant jusqu’à 5 euros, avant cette « révolution » lancée par Valérie Pécresse, la présidente de la région et de l’autorité organisatrice des transports, Ile-de-France Mobilités (IDFM).
Problème : la bascule décidée en septembre 2024 « n’a pas été bien préparée », regrette Michel Babut, vice-président de la Fédération nationale des associations d’usagers des transports Ile-de-France. « Le système de billettique était compliqué. Il l’est un peu moins, mais la transition s’est faite dans la précipitation », poursuit-il.
Article paru dans Le Monde rédigé par Sophie Fay
Source - FNAUT
C’est une augmentation de prix sensible pour les utilisateurs du métro : avant le changement, le carnet de 10 tickets de métro ou bus, dits T+, était à 17,35 euros. Mais c’est une économie massive pour les Franciliens hors Paris ou les trajets de banlieue à banlieue. Ils payaient leur trajet plus cher, à des prix variables allant jusqu’à 5 euros, avant cette « révolution » lancée par Valérie Pécresse, la présidente de la région et de l’autorité organisatrice des transports, Ile-de-France Mobilités (IDFM).
Problème : la bascule décidée en septembre 2024 « n’a pas été bien préparée », regrette Michel Babut, vice-président de la Fédération nationale des associations d’usagers des transports Ile-de-France. « Le système de billettique était compliqué. Il l’est un peu moins, mais la transition s’est faite dans la précipitation », poursuit-il.
Article paru dans Le Monde rédigé par Sophie Fay
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