S'ils sont très présents sur le réseau social, les politiques français ont souvent du mal à en faire un outil de dialogue et d'échange. Philippe Martin l'avoue sans mal: à la base, il n'était pas fan de Twitter. Il s'y est mis une fois devenu ministre de l'Ecologie. Redevenu député au printemps, il a eu le "déclic" sur un marché dans le Gers.
Ecoutant un marchand de volailles lui raconter ses difficultés due à une réglementation européenne, il s'est dit "ça je ne peux pas l'expliquer en 140 signes!", raconte-t-il à l'AFP. Du coup, il a fermé son compte fin novembre et publié sept tweets d'adieu, où il dit notamment son désir de retrouver "places publique" et "bistrots". "Pas mal de copains sont venus me voir en me demandant si je n'étais pas déprimé...", raconte-t-il en riant. D'autres se sont interrogés…
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RP - Public Sénat/Déborah CLAUDE - 2014-12-12
Ecoutant un marchand de volailles lui raconter ses difficultés due à une réglementation européenne, il s'est dit "ça je ne peux pas l'expliquer en 140 signes!", raconte-t-il à l'AFP. Du coup, il a fermé son compte fin novembre et publié sept tweets d'adieu, où il dit notamment son désir de retrouver "places publique" et "bistrots". "Pas mal de copains sont venus me voir en me demandant si je n'étais pas déprimé...", raconte-t-il en riant. D'autres se sont interrogés…
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