
La typologie repose sur l’analyse des trajectoires professionnelles, construite à partir des situations observées mois par mois.
Cinq états sont distingués : emploi stable, emploi précaire, recherche d’emploi, formation ou inactivité. Une méthode de classification statistique a été mobilisée pour mettre en lumière la diversité des trajectoires : elles sont regroupées en huit catégories reflétant les principaux schémas d’insertion professionnelle de cette cohorte.
Ces trajectoires sont ensuite mises en relation avec les parcours scolaires et les caractéristiques sociodémographiques des répondants. Parmi ces huit trajectoires, quatre sont dominées par l’emploi, les jeunes y passant plus de 50 % du temps en emploi sur les 6 années suivant la sortie des études. Ces trajectoires, qui regroupent 72 % des jeunes, reflètent des parcours marqués par une insertion plus ou moins rapide et stable sur le marché du travail.
Les autres trajectoires traduisent des situations plus fragiles, caractérisées par des périodes prolongées de précarité, de chômage ou d’inactivité, ainsi que des réorientations ou des retours en formation
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Cette étude propose une typologie des parcours professionnels, sur une période de six ans, des jeunes sortis de formation initiale en 2017.
La typologie repose sur l’analyse des trajectoires professionnelles, construite à partir des situations observées mois par mois.
Cinq états sont distingués : emploi stable, emploi précaire, recherche d’emploi, formation ou inactivité. Une méthode de classification statistique a été mobilisée pour mettre en lumière la diversité des trajectoires : elles sont regroupées en huit catégories reflétant les principaux schémas d’insertion professionnelle de cette cohorte.
Ces trajectoires sont ensuite mises en relation avec les parcours scolaires et les caractéristiques sociodémographiques des répondants. Parmi ces huit trajectoires, quatre sont dominées par l’emploi, les jeunes y passant plus de 50 % du temps en emploi sur les 6 années suivant la sortie des études. Ces trajectoires, qui regroupent 72 % des jeunes, reflètent des parcours marqués par une insertion plus ou moins rapide et stable sur le marché du travail.
Les autres trajectoires traduisent des situations plus fragiles, caractérisées par des périodes prolongées de précarité, de chômage ou d’inactivité, ainsi que des réorientations ou des retours en formation
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