Multifactorielle et difficile à mesurer, la phobie scolaire souffre encore de l’image d’un trouble peu sérieux, voire feint. Une équipe de l’Inserm a donc enquêté dans toute la France pour faire la lumière sur ce phénomène, accentué par la crise sanitaire.
Ce « refus scolaire anxieux » (RSA), selon le terme consensuel, concernerait entre 1 et 2 % des élèves, de la maternelle au lycée, dans de nombreux pays. Un phénomène sans doute sous-estimé en France, faute d’indicateur précis, et surtout mal caractérisé.
Au sommaire :
- Un trouble aux mille et un visages
- Des conséquences individuelles et familiales ravageuses
INSERM >> Etude complète
Un article a retrouver dans le magazine de l’Inserm n° 55
Ce « refus scolaire anxieux » (RSA), selon le terme consensuel, concernerait entre 1 et 2 % des élèves, de la maternelle au lycée, dans de nombreux pays. Un phénomène sans doute sous-estimé en France, faute d’indicateur précis, et surtout mal caractérisé.
Au sommaire :
- Un trouble aux mille et un visages
- Des conséquences individuelles et familiales ravageuses
INSERM >> Etude complète
Un article a retrouver dans le magazine de l’Inserm n° 55
Dans la même rubrique
-
Actu - Décret petite enfance : synthèse des obligations
-
Actu - Méthodologie de l’enquête « Modes de garde et d’accueil des jeunes enfants (MDG) 2021 »
-
Actu - Accueil du jeune enfant et protection de l’enfance : tout savoir sur l'attestation d'honorabilité
-
Actu - Santé mentale - La participation des enfants et des jeunes
-
Actu - Rapport de la commission d’enquête parlementaire sur la protection de l’enfance - Départements de France et Isabelle Santiago actent un comité de suivi des propositions