Quatre millions de personnes - soit 6 % de la population - sont considérées comme mal logées en France, selon le rapport 2024 de la FAP. Du sans domicile fixe au jeune contraint de revenir vivre chez ses parents, en passant par le couple qui vit avec son enfant dans un studio, ce chiffre rassemble des populations logées de manières très différentes. Pour essayer de mieux comprendre cette réalité, nous avons détaillé trois formes principales de mal-logement : l’habitat inconfortable, le manque d’espace et l’absence de logement à soi.
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La première forme de mal-logement est le manque de confort
La deuxième forme de mal-logement est le manque d’espace qui concerne plus d’un million de personnes. Selon l’Insee, le peuplement normal d’un logement répond à la norme suivante
Enfin, la troisième forme de mal-logement, c’est ne pas disposer de logement à soi
COMPAS - Note complète
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La première forme de mal-logement est le manque de confort
La deuxième forme de mal-logement est le manque d’espace qui concerne plus d’un million de personnes. Selon l’Insee, le peuplement normal d’un logement répond à la norme suivante
Enfin, la troisième forme de mal-logement, c’est ne pas disposer de logement à soi
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