
La récente publication du rapport de l'Anses consacrée aux effets sanitaires éventuels de la 5G constituait l'opportunité d'élargir ce thème à la question plus large de la sécurisation des réseaux et infrastructures déployés pour en assurer la couverture.
Olivier Merckel, chef de l’unité d’évaluation des risques liés aux agents physiques à l'Anses (Agence nationale de sécurité sanitaire de l’alimentation, de l’environnement et du travail), a d'abord rappelé les phénomènes d'interactions des ondes avec le vivant, avant de préciser les modalités de l'expertise assurée par l'Anses et de présenter les principales conclusions du rapport mis en consultation publique.
Nicolas Guérin, en sa qualité de président de la FFT (Fédération française des télécoms), a quant à lui évoqué la question de la sécurisation des installations tout d'abord, avant d'aborder la problématique (commune à tout l'écosystème numérique) de la cybersécurité, sous ses deux facettes : menace, mais également opportunité économique pour certains acteurs nationaux.
Enfin, Vincent Cuvillier, président de la toute jeune OFITEM (Association française des opérateurs d’infrastructures de téléphonie mobile), s'est attaché à montrer en quoi les nouvelles stratégies des opérateurs visant à séparer les activités de services des infrastructures ont généralisé l'apparition d'acteurs intermédiaires entre les fournisseurs de services de téléphonie mobile et leurs différents bailleurs. Un éclairage sur les "limites de prestations" des différents intervenants vis-à-vis des collectivités, qui permet de mieux comprendre les enjeux et responsabilités de chacun pour sécuriser les infrastructures.
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Olivier Merckel, chef de l’unité d’évaluation des risques liés aux agents physiques à l'Anses (Agence nationale de sécurité sanitaire de l’alimentation, de l’environnement et du travail), a d'abord rappelé les phénomènes d'interactions des ondes avec le vivant, avant de préciser les modalités de l'expertise assurée par l'Anses et de présenter les principales conclusions du rapport mis en consultation publique.
Nicolas Guérin, en sa qualité de président de la FFT (Fédération française des télécoms), a quant à lui évoqué la question de la sécurisation des installations tout d'abord, avant d'aborder la problématique (commune à tout l'écosystème numérique) de la cybersécurité, sous ses deux facettes : menace, mais également opportunité économique pour certains acteurs nationaux.
Enfin, Vincent Cuvillier, président de la toute jeune OFITEM (Association française des opérateurs d’infrastructures de téléphonie mobile), s'est attaché à montrer en quoi les nouvelles stratégies des opérateurs visant à séparer les activités de services des infrastructures ont généralisé l'apparition d'acteurs intermédiaires entre les fournisseurs de services de téléphonie mobile et leurs différents bailleurs. Un éclairage sur les "limites de prestations" des différents intervenants vis-à-vis des collectivités, qui permet de mieux comprendre les enjeux et responsabilités de chacun pour sécuriser les infrastructures.
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