Toute activité recèle une part de risque, plus ou moins mesurable. L’exercice des activités des sapeurs-pompiers présente des risques pour les agents eux-mêmes mais aussi pour les personnes, pour les biens et pour l’environnement qu’ils ont la charge de protéger.
Comme dans toute activité humaine, le risque d’erreur, quelle qu’en soit les conséquences, ne saurait être réduit à zéro, mais la culture de la sureté, initiée par le secteur nucléaire au début des années 1990, après la catastrophe de Tchernobyl, a permis de développer des repères pour mieux connaître ce facteur risque et le diminuer.
ENSOSP/Audrey MOREL SENATORE - 2016-08-01
Comme dans toute activité humaine, le risque d’erreur, quelle qu’en soit les conséquences, ne saurait être réduit à zéro, mais la culture de la sureté, initiée par le secteur nucléaire au début des années 1990, après la catastrophe de Tchernobyl, a permis de développer des repères pour mieux connaître ce facteur risque et le diminuer.
ENSOSP/Audrey MOREL SENATORE - 2016-08-01
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