D’autre part, des stratégies sont développées par les SDIS afin de faciliter la déclaration, spontanée en temps réel, de la disponibilité des sapeurs-pompiers volontaires.
De nouveaux modes d’organisation de la réponse opérationnelle émergent. Des stratégies sont développées par les SDIS afin, notamment, de faciliter la déclaration, en temps réel, de la disponibilité des sapeurs-pompiers volontaires.
En prenant trois exemples de SDIS, l’Isère (1° catégorie), l’Aude (3° catégorie) et les Hautes-Alpes (5° catégorie), l’étude présente les démarches innovantes qui y ont été mises en œuvre pour mieux gérer cette disponibilité puis elle en montre les résultats et les enseignements.
Sur le plan opérationnel, la possibilité pour les volontaires de déclarer leur disponibilité et la gestion en temps réel du potentiel mobilisable apporte au traitement de l’alerte et à la chaine de commandement de la lisibilité, de la fiabilité et de la rapidité pour engager le bon équipage au bon endroit. En outre, ces systèmes de gestion permettent de disposer d’un potentiel opérationnel très important, pour assurer la couverture des risques courants et des risques particuliers.
Sur le plan social et managérial, d’année en année, la part de disponibilité inscrite spontanément par les volontaires augmente. L’absence de carcan répond certainement aux nouveaux modes de vie des hommes et des femmes engagés volontairement.
Sur le plan financier, l’astreinte et la disponibilité déclarée représentent en total annuel 8 311 000 heures dans l’Isère, 2 451 500 heures dans l’Aude et 2 464 500 heures dans les Hautes-Alpes. Ces heures sont en grande partie bénévoles. Il s’en suit, pour ces SDIS, un moindre coût de leur potentiel opérationnel et un moindre coût global, par rapport à leurs homologues qui ne disposent pas d’un tel dispositif.
IFRASEC - 2016-10-24
De nouveaux modes d’organisation de la réponse opérationnelle émergent. Des stratégies sont développées par les SDIS afin, notamment, de faciliter la déclaration, en temps réel, de la disponibilité des sapeurs-pompiers volontaires.
En prenant trois exemples de SDIS, l’Isère (1° catégorie), l’Aude (3° catégorie) et les Hautes-Alpes (5° catégorie), l’étude présente les démarches innovantes qui y ont été mises en œuvre pour mieux gérer cette disponibilité puis elle en montre les résultats et les enseignements.
Sur le plan opérationnel, la possibilité pour les volontaires de déclarer leur disponibilité et la gestion en temps réel du potentiel mobilisable apporte au traitement de l’alerte et à la chaine de commandement de la lisibilité, de la fiabilité et de la rapidité pour engager le bon équipage au bon endroit. En outre, ces systèmes de gestion permettent de disposer d’un potentiel opérationnel très important, pour assurer la couverture des risques courants et des risques particuliers.
Sur le plan social et managérial, d’année en année, la part de disponibilité inscrite spontanément par les volontaires augmente. L’absence de carcan répond certainement aux nouveaux modes de vie des hommes et des femmes engagés volontairement.
Sur le plan financier, l’astreinte et la disponibilité déclarée représentent en total annuel 8 311 000 heures dans l’Isère, 2 451 500 heures dans l’Aude et 2 464 500 heures dans les Hautes-Alpes. Ces heures sont en grande partie bénévoles. Il s’en suit, pour ces SDIS, un moindre coût de leur potentiel opérationnel et un moindre coût global, par rapport à leurs homologues qui ne disposent pas d’un tel dispositif.
IFRASEC - 2016-10-24
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