Le bilan national de la qualité de l’air fait un état des lieux des principales pollutions connues au cours de l’année. 2015 est marqué par quelques épisodes de pollution aux particules (PM), par le retour d’épisodes de pollution à l’ozone (O3), et par l’absence de pollution au dioxyde d’azote (NO2) comme en 2014.
Malgré cela, en 2015, les concentrations moyennes annuelles en dioxyde de soufre (SO2), composés organiques (CO), NO2, particules PM10 et PM2,5 sont parmi les plus faibles sur la période 2000-2015 (2007-2015 pour les PM10 et 2009-2015 pour les PM2,5). À l’inverse, les teneurs moyennes estivales en O3 font partie des plus élevées enregistrées depuis 2000.
Comme en 2013 et 2014, 7 polluants sur 12 réglementés présentent en 2015 des dépassements des normes sanitaires de qualité de l’air. Même s’ils sont moins nombreux que par le passé, les dépassements pour les PM10, le NO2 et l’O3 sont récurrents et concernent, en 2015, entre 8 et 34 agglomérations.
Afin de protéger la santé des populations et respecter les valeurs limites fixées par l’UE, l’Etat mène des actions au niveau national dans tous les secteurs d’activité. Au niveau local, les préfets adoptent des plans de protection de l’atmosphère (PPA) dans les agglomérations de plus de 250 000 habitants ou dans les zones qui dépassent ou risquent de dépasser les valeurs limites européennes. Ils mettent également en œuvre des mesures d’urgence lors des épisodes de pollution.
Ce bilan répond à l’obligation faite à l’État de publier chaque année un rapport portant sur la qualité de l’air en France, son évolution possible et ses effets sur la santé et l’environnement.
MEEM - 2016-10-28
Malgré cela, en 2015, les concentrations moyennes annuelles en dioxyde de soufre (SO2), composés organiques (CO), NO2, particules PM10 et PM2,5 sont parmi les plus faibles sur la période 2000-2015 (2007-2015 pour les PM10 et 2009-2015 pour les PM2,5). À l’inverse, les teneurs moyennes estivales en O3 font partie des plus élevées enregistrées depuis 2000.
Comme en 2013 et 2014, 7 polluants sur 12 réglementés présentent en 2015 des dépassements des normes sanitaires de qualité de l’air. Même s’ils sont moins nombreux que par le passé, les dépassements pour les PM10, le NO2 et l’O3 sont récurrents et concernent, en 2015, entre 8 et 34 agglomérations.
Afin de protéger la santé des populations et respecter les valeurs limites fixées par l’UE, l’Etat mène des actions au niveau national dans tous les secteurs d’activité. Au niveau local, les préfets adoptent des plans de protection de l’atmosphère (PPA) dans les agglomérations de plus de 250 000 habitants ou dans les zones qui dépassent ou risquent de dépasser les valeurs limites européennes. Ils mettent également en œuvre des mesures d’urgence lors des épisodes de pollution.
Ce bilan répond à l’obligation faite à l’État de publier chaque année un rapport portant sur la qualité de l’air en France, son évolution possible et ses effets sur la santé et l’environnement.
MEEM - 2016-10-28
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