Jusqu’à 40 % des jeunes connaissent un épisode d’inactivité ou de chômage sur une période de quatre ans, mais pour la moitié d’entre eux, cet épisode dure au moins un an et peut entraîner découragement et exclusion.
Le nombre élevé de jeunes déscolarisés et sans emploi représente également un coût économique majeur, compris entre 360 et 605 milliards USD, soit de 0.9 % à 1.5 % du PIB de la zone OCDE.
Les jeunes qui arrêtent l’école à 16 ans avant d’avoir obtenu leur diplôme de fin du secondaire représentent plus de 30 % des jeunes déscolarisés et sans emploi. En outre, ceux qui sont nés à l’étranger ont en moyenne 1,5 fois plus de risque de tomber dans cette catégorie que les jeunes nés sur place - et 2 à 2,25 fois plus de risque en Allemagne, en Autriche, aux Pays-Bas et en Norvège.
OCDE - 2016-10-05
Le nombre élevé de jeunes déscolarisés et sans emploi représente également un coût économique majeur, compris entre 360 et 605 milliards USD, soit de 0.9 % à 1.5 % du PIB de la zone OCDE.
Les jeunes qui arrêtent l’école à 16 ans avant d’avoir obtenu leur diplôme de fin du secondaire représentent plus de 30 % des jeunes déscolarisés et sans emploi. En outre, ceux qui sont nés à l’étranger ont en moyenne 1,5 fois plus de risque de tomber dans cette catégorie que les jeunes nés sur place - et 2 à 2,25 fois plus de risque en Allemagne, en Autriche, aux Pays-Bas et en Norvège.
OCDE - 2016-10-05
Dans la même rubrique
-
Actu - La Région Grand Est et la Caisse des Dépôts se mobilisent pour l’insertion professionnelle des demandeurs d’emploi de plus de 55 ans
-
JORF - Réforme de la répartition des fonds de la formation professionnelle : impacts sur les régions et le CNFPT
-
JORF - Financement des transitions professionnelles : nouvelles règles de répartition et de plafonnement pour les CPIR
-
Doc - L’expérimentation « Territoire zéro chômeur de longue durée » : un dispositif utile localement mais couteux
-
Doc - L’effet de la parentalité sur le taux d’activité des mères immigrées et descendantes d’immigrées ne dépend pas de leur opinion sur les inégalités de genre sur le marché du travail