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D’après un nouveau rapport de l’OMS, la violence et les traumatismes figurent parmi les principales causes de décès dans l’ensemble des États membres de la Région européenne de l’OMS et ce, quel que soit leur statut économique. Le temps de lire cet article, 2 personnes seront décédées dans la Région à la suite d’un acte de violence ou d’un traumatisme.
Ces décès surviennent dans la rue, à la maison, à l’école ainsi que sur le lieu de travail et de loisirs, que l’on soit seul ou en famille. Chaque année, et il s’agit là de la dure réalité de la violence et des traumatismes dans la Région, près de 500 000 personnes meurent de causes telles que les chutes, les traumatismes dus aux accidents de la route, la noyade, les brûlures, l’empoisonnement, la violence interpersonnelle et le suicide.
Or, ces décès ne sont que la partie visible de l’iceberg. Derrière ces sombres statistiques se cache un nombre encore plus important de traumatismes non mortels, toutes gravités confondues, qui représentent une charge énorme pour les services de santé et les hôpitaux.
Au sommaire
- Si un mot n’est pas utilisé assez souvent, c’est bien celui "d’évitable".
- Des progrès inégaux d’un pays à l’autre
OMS - Rapport complet - 2020-07-15
Ces décès surviennent dans la rue, à la maison, à l’école ainsi que sur le lieu de travail et de loisirs, que l’on soit seul ou en famille. Chaque année, et il s’agit là de la dure réalité de la violence et des traumatismes dans la Région, près de 500 000 personnes meurent de causes telles que les chutes, les traumatismes dus aux accidents de la route, la noyade, les brûlures, l’empoisonnement, la violence interpersonnelle et le suicide.
Or, ces décès ne sont que la partie visible de l’iceberg. Derrière ces sombres statistiques se cache un nombre encore plus important de traumatismes non mortels, toutes gravités confondues, qui représentent une charge énorme pour les services de santé et les hôpitaux.
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