
Annoncée en février dernier, la police de sécurité du quotidien commence à se déployer, depuis début septembre, dans les quartiers les plus exposés à l’insécurité, aux trafics et à la criminalité. Le ministre de l’Intérieur s’est rendu aux Tarterêts, à Corbeil-Essonnes (91), le 18 septembre dernier. Il y a donné le coup d’envoi du dispositif des "quartiers de reconquête républicaine", qui seront 60 d’ici trois ans.
D’ici la fin du quinquennat, 10 000 postes de policiers et de gendarmes seront créés, avec une affectation prioritaire dans les quartiers de la politique de la ville.En effet, la police de sécurité du quotidien (PSQ) est destinée à intervenir dans 60 "quartiers de reconquête républicaine", identifiés comme étant les plus touchés par la délinquance. D’ici 2020, 1 300 gardiens de la paix supplémentaires vont donc, sur la base du volontariat, venir renforcer les effectifs de policiers d’ici trois ans, à raison de 15 à 30 postes en plus, selon les quartiers. Aux Tarterêts, où vivent 5600 habitants, ce sont 30 policiers supplémentaires qui ont été affectés.
Ce déploiement vise à remettre la République au cœur des quartiers de la politique de la ville les plus exposés à la délinquance organisée et aux trafics. En effet, les questions de sécurité dans les quartiers prioritaires de la ville constituent une préoccupation majeure pour les habitants : c’est d’ailleurs l’un de leurs principaux motifs de déménagement
CGET - 2018-09-19
D’ici la fin du quinquennat, 10 000 postes de policiers et de gendarmes seront créés, avec une affectation prioritaire dans les quartiers de la politique de la ville.En effet, la police de sécurité du quotidien (PSQ) est destinée à intervenir dans 60 "quartiers de reconquête républicaine", identifiés comme étant les plus touchés par la délinquance. D’ici 2020, 1 300 gardiens de la paix supplémentaires vont donc, sur la base du volontariat, venir renforcer les effectifs de policiers d’ici trois ans, à raison de 15 à 30 postes en plus, selon les quartiers. Aux Tarterêts, où vivent 5600 habitants, ce sont 30 policiers supplémentaires qui ont été affectés.
Ce déploiement vise à remettre la République au cœur des quartiers de la politique de la ville les plus exposés à la délinquance organisée et aux trafics. En effet, les questions de sécurité dans les quartiers prioritaires de la ville constituent une préoccupation majeure pour les habitants : c’est d’ailleurs l’un de leurs principaux motifs de déménagement
CGET - 2018-09-19
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