
De l’interdiction des smartphones dans certains lieux publics au rationnement du nombre de gigas quotidiens, des propositions émergent pour faire face aux enjeux de l’économie de l’attention numérique, renforcés par le développement des intelligences artificielles génératives. Néanmoins, c’est pour chaque fois réduire les capacités d’usage des citoyens plutôt que d’agir à la source, sur la nature des services fournis par quelques grandes entreprises.
Anne Alombert, philosophe et membre du Conseil national du numérique insiste sur le rôle fondamental de la puissance publique, pour d’abord engager la transformation des technologies et rendre possible l’exercice des libertés aujourd’hui menacées.
Elle propose deux leviers d’action pour y remédier, pouvant nourrir un projet européen à venir.
- Ne pas laisser aux algorithmes de quelques entreprises privées le pouvoir de téléguider les choix des citoyens
- Pour un projet européen démocratique et contributif
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Anne Alombert, philosophe et membre du Conseil national du numérique insiste sur le rôle fondamental de la puissance publique, pour d’abord engager la transformation des technologies et rendre possible l’exercice des libertés aujourd’hui menacées.
Elle propose deux leviers d’action pour y remédier, pouvant nourrir un projet européen à venir.
- Ne pas laisser aux algorithmes de quelques entreprises privées le pouvoir de téléguider les choix des citoyens
- Pour un projet européen démocratique et contributif
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