
Pour mettre en lumière la biodiversité des murs en lien avec la diversité des matériaux et des systèmes constructifs, Plante & Cité lance un appel à signalement dans le cadre du projet MURMURE (2021-2023).
Grâce à tous vos signalements, nous créerons une cartographie en ligne que vous pourrez consulter dès 2024.
Plus les signalements seront nombreux et détaillés et plus l’outil cartographique pourra également servir d’inspiration, par exemple pour des projets de gestion, de restauration, de plantation ou de création de murs.
Quels murs nous intéressent ? Tous les murs qui sont supports de nature, qu’ils soient anciens ou de construction récente (hors murs de bâtiments).
En les décrivant, vous contribuerez à illustrer la grande diversité des plantes, des animaux, des matériaux, des formes des murs.
Signaler un mur : remplir le questionnaire
Plante et Cité >> Note complète
Grâce à tous vos signalements, nous créerons une cartographie en ligne que vous pourrez consulter dès 2024.
Plus les signalements seront nombreux et détaillés et plus l’outil cartographique pourra également servir d’inspiration, par exemple pour des projets de gestion, de restauration, de plantation ou de création de murs.
Quels murs nous intéressent ? Tous les murs qui sont supports de nature, qu’ils soient anciens ou de construction récente (hors murs de bâtiments).
En les décrivant, vous contribuerez à illustrer la grande diversité des plantes, des animaux, des matériaux, des formes des murs.
Signaler un mur : remplir le questionnaire
Plante et Cité >> Note complète
Dans la même rubrique
-
Actu - Espaces verts - Ambroisie - Les collectivités doivent organiser la lutte
-
Doc - Espaces verts - Un accès inégal aux espaces verts dans les grands centres urbains
-
Actu - Espaces verts - Première sélection du programme des Rendez-vous aux jardins, sur le thème « Jardins de pierres, pierres de jardins »
-
Actu - Espaces verts - 22e édition des Rendez-vous aux jardins : Jardins de pierres - pierres de jardins
-
Actu - Espaces verts - Les arbres en ville : pourquoi il n’y a pas que le nombre qui compte