
En partenariat avec l’Ifop, Nexem - principale organisation professionnelle des employeurs associatifs du secteur social, médico-social et sanitaire - a souhaité sonder l’intérêt des jeunes (de 16 à 25 ans) pour les métiers de la solidarité.
En voici les enseignements principaux :
Le secteur social, médico-social et sanitaire est peu connu pour 3 jeunes sur 5 (62%).
Les 16-25 ans perçoivent largement son aspect essentiel pour la société (79%), bien plus que pour d’autres secteurs.
Toutefois, cette utilité sociale n’est pas reconnue à sa juste valeur par les pouvoirs publics (73%) et 4 sondés sur 5 s’accordent sur la fragilité de ces filières (80%).
Au global, 15% des jeunes envisagent un métier dans le social, médico-social et sanitaire. Pour eux, c’est un métier de vocation, celle d’aider les autres pour plus de la moitié (52%). À l’inverse, les principaux freins identifiés sont liés aux conditions de travail
Alors que le salaire arrive en première position des critères de choix d’un métier pour l’ensemble des répondants (pour 45%) devant l’épanouissement professionnel (38%), l’ordre est inversé pour ceux qui se voient exercer un métier dit “de solidarité”. Pour ces derniers, l’utilité sociale est un argument pour 20%, soit deux fois plus que la moyenne des jeunes (10%).
Présentation des résultats
Source - IFOP
En voici les enseignements principaux :
Le secteur social, médico-social et sanitaire est peu connu pour 3 jeunes sur 5 (62%).
Les 16-25 ans perçoivent largement son aspect essentiel pour la société (79%), bien plus que pour d’autres secteurs.
Toutefois, cette utilité sociale n’est pas reconnue à sa juste valeur par les pouvoirs publics (73%) et 4 sondés sur 5 s’accordent sur la fragilité de ces filières (80%).
Au global, 15% des jeunes envisagent un métier dans le social, médico-social et sanitaire. Pour eux, c’est un métier de vocation, celle d’aider les autres pour plus de la moitié (52%). À l’inverse, les principaux freins identifiés sont liés aux conditions de travail
Alors que le salaire arrive en première position des critères de choix d’un métier pour l’ensemble des répondants (pour 45%) devant l’épanouissement professionnel (38%), l’ordre est inversé pour ceux qui se voient exercer un métier dit “de solidarité”. Pour ces derniers, l’utilité sociale est un argument pour 20%, soit deux fois plus que la moyenne des jeunes (10%).
Présentation des résultats
Source - IFOP
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