L’ionisation des aliments consiste à les exposer à des rayonnements ionisants afin de réduire le nombre de micro-organismes qu'ils contiennent. Selon l’aliment, elle prévient la germination, extermine les insectes (légumes), retarde la maturation (légumes), prévient les maladies (volaille) ou réduit les micro-organismes (herbes aromatiques).
Cette irradiation des aliments est réglementée au niveau communautaire par la directive n° 1999/2/CE du 22 février 1999 et en France par le décret n° 2001/1097 du 16 novembre 2001 et l’arrêté du 20 août 2002.
Les denrées ionisées en France sont majoritairement les cuisses de grenouille congelées (370 tonnes en 2013), les herbes aromatiques séchées, épices et condiments (314 t), et la viande de volaille (7 t). Le procédé ne représente plus qu’une faible partie du chiffre d’affaires pour la plupart des unités autorisées à le pratiquer sur les denrées.
L’enquête annuelle de la DGCCRF contrôle le bon fonctionnement des cinq établissements agréés. Elle a également vérifié l’absence de traitement dans les denrées et ingrédients pour lesquels il est interdit, et recherché des denrées et ingrédients dont l’ionisation est autorisée mais qui ne l’auraient pas mentionnée sur l’étiquetage.
Le taux de non-conformité (3,8 %) augmente d’un point en un an en raison d’un défaut de mention de l’ionisation dans l’étiquetage…
DGCCRF - 2015-02-23
http://www.economie.gouv.fr/dgccrf/lionisation-des-aliments
Cette irradiation des aliments est réglementée au niveau communautaire par la directive n° 1999/2/CE du 22 février 1999 et en France par le décret n° 2001/1097 du 16 novembre 2001 et l’arrêté du 20 août 2002.
Les denrées ionisées en France sont majoritairement les cuisses de grenouille congelées (370 tonnes en 2013), les herbes aromatiques séchées, épices et condiments (314 t), et la viande de volaille (7 t). Le procédé ne représente plus qu’une faible partie du chiffre d’affaires pour la plupart des unités autorisées à le pratiquer sur les denrées.
L’enquête annuelle de la DGCCRF contrôle le bon fonctionnement des cinq établissements agréés. Elle a également vérifié l’absence de traitement dans les denrées et ingrédients pour lesquels il est interdit, et recherché des denrées et ingrédients dont l’ionisation est autorisée mais qui ne l’auraient pas mentionnée sur l’étiquetage.
Le taux de non-conformité (3,8 %) augmente d’un point en un an en raison d’un défaut de mention de l’ionisation dans l’étiquetage…
DGCCRF - 2015-02-23
http://www.economie.gouv.fr/dgccrf/lionisation-des-aliments
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