La voiture reste le mode de déplacement par excellence. Elle représente 80 % des 1 000 milliards de kilomètres parcours chaque année avec un véhicule motorisé, et le mode de transport utilisé pour les deux tiers des déplacements.
En 2020, le parc automobile dépasse les 37 millions de véhicules.
Les évolutions actuelles résultent de différents facteurs qui s’opposent. Le développement de l’habitat périurbain, qui impose souvent l’équipement d’une deuxième voire d’une troisième voiture par ménage, progresse toujours.
À l’opposé, dans l’hypercentre des grandes villes, le renchérissement du stationnement rend la voiture de plus en plus onéreuse, notamment pour les jeunes. Les réseaux de tramway se développent. Sur plus longue distance, le covoiturage et l’essor du transport par autocar jouent aussi. Le prix du carburant, pour l’heure au moins, semble jouer relativement peu dans les variations du kilométrage par couru au bout du compte.
L’automobile coûte cher à celui qui la possède ainsi qu’à la société du fait de l’ampleur de la pollution, des nuisances sonores, des accidents, etc.
Dans les conditions actuelles de rejets polluants dans l’atmosphère, le niveau d’équipement des ménages des pays riches appliqué à l’ensemble de la planète n’est pas écologiquement supportable.
L’avenir de l’usage de l’automobile dépendra pour beaucoup de l’urbanisme ainsi que de l’accent mis en matière d’infrastructures routières ou de transports en commun.
Centre d’Observation de la Société >> Etude complète
En 2020, le parc automobile dépasse les 37 millions de véhicules.
Les évolutions actuelles résultent de différents facteurs qui s’opposent. Le développement de l’habitat périurbain, qui impose souvent l’équipement d’une deuxième voire d’une troisième voiture par ménage, progresse toujours.
À l’opposé, dans l’hypercentre des grandes villes, le renchérissement du stationnement rend la voiture de plus en plus onéreuse, notamment pour les jeunes. Les réseaux de tramway se développent. Sur plus longue distance, le covoiturage et l’essor du transport par autocar jouent aussi. Le prix du carburant, pour l’heure au moins, semble jouer relativement peu dans les variations du kilométrage par couru au bout du compte.
L’automobile coûte cher à celui qui la possède ainsi qu’à la société du fait de l’ampleur de la pollution, des nuisances sonores, des accidents, etc.
Dans les conditions actuelles de rejets polluants dans l’atmosphère, le niveau d’équipement des ménages des pays riches appliqué à l’ensemble de la planète n’est pas écologiquement supportable.
L’avenir de l’usage de l’automobile dépendra pour beaucoup de l’urbanisme ainsi que de l’accent mis en matière d’infrastructures routières ou de transports en commun.
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