
Le porte-parole du candidat communiste à la présidentielle estime qu'une "bombe sociale" se profile avec la mise en place des zones à faibles émissions. D'après Ian Brossat dix millions de voitures seront impactées. Cette évaluation est pourtant difficile à faire.
Les zones à faibles émissions (ZFE) auxquelles Ian Brossat fait référence sont des territoires délimités dans lesquels les véhicules les plus polluants n'ont pas le droit de rouler, en fonction de critères fixés localement. Six ZFE sont déjà en place à ce jour. Mais la loi climat et résilience impose d'étendre ce dispositif à toutes les agglomérations de plus de 150 000 habitants d'ici 2025. Ainsi, 43 ZFE devront avoir été créées d'ici trois ans.
Difficile d'évaluer le nombre de véhicules concernés
"La loi climat et résilience prévoit des mesures pour les voitures de particuliers uniquement sur les territoires en situation de dépassement. Pour les 33 autres territoires, c'est à l'appréciation de la collectivité et en fonction de la pertinence des restrictions au regard du contexte local et de la qualité de l'air", explique le ministère de la Transition écologique.
Pour les territoires qui seront en dépassement des seuils règlementaires, la loi imposera effectivement d'interdire la circulation des voitures dotées de vignettes Crit'air 5 en 2023, Crit'air 4 en 2024 et Crit'air 3 en 2025.
Si l'on s'en tient à ce scénario et que ces villes ne rectifient pas leur trajectoire, 3,7 millions de véhicules pourraient être concernés par une interdiction certaine de circuler en 2025.
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Les zones à faibles émissions (ZFE) auxquelles Ian Brossat fait référence sont des territoires délimités dans lesquels les véhicules les plus polluants n'ont pas le droit de rouler, en fonction de critères fixés localement. Six ZFE sont déjà en place à ce jour. Mais la loi climat et résilience impose d'étendre ce dispositif à toutes les agglomérations de plus de 150 000 habitants d'ici 2025. Ainsi, 43 ZFE devront avoir été créées d'ici trois ans.
Difficile d'évaluer le nombre de véhicules concernés
"La loi climat et résilience prévoit des mesures pour les voitures de particuliers uniquement sur les territoires en situation de dépassement. Pour les 33 autres territoires, c'est à l'appréciation de la collectivité et en fonction de la pertinence des restrictions au regard du contexte local et de la qualité de l'air", explique le ministère de la Transition écologique.
Pour les territoires qui seront en dépassement des seuils règlementaires, la loi imposera effectivement d'interdire la circulation des voitures dotées de vignettes Crit'air 5 en 2023, Crit'air 4 en 2024 et Crit'air 3 en 2025.
Si l'on s'en tient à ce scénario et que ces villes ne rectifient pas leur trajectoire, 3,7 millions de véhicules pourraient être concernés par une interdiction certaine de circuler en 2025.
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