
Ces messages illégaux, contribuent à attiser la haine et à entretenir un climat de troubles à l’ordre public dans notre pays. Les services du ministère de l’Intérieur et des Outre-mer sont pleinement mobilisés pour lutter contre la haine en ligne : signalement de ces messages, saisine de la plateforme Pharos et des autorités judiciaires.
Toutefois, nombre de ces contenus ne sont pas supprimés ou le sont tardivement. C’est pourquoi Gérald Darmanin, ministre de l’Intérieur et des Outre-mer et Jean-Noël Barrot, ministre délégué chargé de la transition numérique et des télécommunications, ont réuni aujourd’hui à Beauvau les représentants des principales plateformes de réseaux sociaux (Meta, Twitter, Snapchat, TikTok).
Les ministres ont notamment rappelé aux plateformes leur responsabilité quant à la diffusion de ces publications. Ils leur ont demandé de s’engager activement pour retirer instamment les messages qui leur sont signalés et identifier les utilisateurs de réseaux sociaux qui participent à la commission d’infractions, et de répondre promptement aux réquisitions des autorités administratives et judiciaires.
L’accroissement de l’effort de modération est une condition impérative de liberté d’expression sur les réseaux sociaux. C’est en ce sens que le législateur a renforcé l’arsenal juridique pour sanctionner les plateformes réfractaires, notamment à travers le règlement sur les services numériques et avec le projet de loi pour sécuriser et réguler l’espace numérique, porté par Jean-Noël Barrot et dont l’examen a commencé au Sénat.
Communiqué du Ministère de l’Intérieur et des Outre-Mer
Toutefois, nombre de ces contenus ne sont pas supprimés ou le sont tardivement. C’est pourquoi Gérald Darmanin, ministre de l’Intérieur et des Outre-mer et Jean-Noël Barrot, ministre délégué chargé de la transition numérique et des télécommunications, ont réuni aujourd’hui à Beauvau les représentants des principales plateformes de réseaux sociaux (Meta, Twitter, Snapchat, TikTok).
Les ministres ont notamment rappelé aux plateformes leur responsabilité quant à la diffusion de ces publications. Ils leur ont demandé de s’engager activement pour retirer instamment les messages qui leur sont signalés et identifier les utilisateurs de réseaux sociaux qui participent à la commission d’infractions, et de répondre promptement aux réquisitions des autorités administratives et judiciaires.
L’accroissement de l’effort de modération est une condition impérative de liberté d’expression sur les réseaux sociaux. C’est en ce sens que le législateur a renforcé l’arsenal juridique pour sanctionner les plateformes réfractaires, notamment à travers le règlement sur les services numériques et avec le projet de loi pour sécuriser et réguler l’espace numérique, porté par Jean-Noël Barrot et dont l’examen a commencé au Sénat.
Communiqué du Ministère de l’Intérieur et des Outre-Mer
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