
Alors que la demande des usagers est de plus en plus forte, embarquer son vélo non démonté à bord des transports collectifs reste souvent compliqué. Pour embarquer son vélo à bord d’un train, les difficultés s’annoncent dès la planification du déplacement en raison d’informations parfois insuffisantes sur les possibilités d’emport selon le service ferroviaire, ainsi que sur les modalités de réservation d’un emplacement vélo.
Ensuite, l’aménagement des gares est souvent peu adapté à la circulation des piétons avec vélo (pas de goulotte dans les escaliers, ascenseurs trop étroits, signalétique inappropriée), et finalement l’embarquement au milieu du flux de voyageurs, dans une voiture parfois surélevée par rapport au quai n’est pas toujours aisé. En ce qui concerne le car, l’offre est encore confidentielle, mais commence à se développer.
Une réglementation récente pour favoriser l’intermodalité vélo/transports collectifs
La loi d’orientation des mobilités prévoit
- d’une part le développement de stationnements sécurisés pour les vélos dans les gares et pôles d’échanges avant le 1er janvier 2024 (Code des Transports, article L. 1272-1),
- et d’autre part, la généralisation de l’emport des vélos dans les cars et trains (Code des Transports, articles L. 1272-5 et L. 1272-6)
L’emport des vélos dans les trains
Selon le type de service ferroviaire, un minimum de 4 à 8 emplacements pour vélos non démontés doit être prévu dans tout matériel neuf pour lequel un avis de marché a été publié à compter du 15 mars 2021 ou pour tout matériel avec rénovation engagée ou avis de marché publié à compter du 15 mars 2021 (hors services urbains).
L’emport des vélos dans les cars
À compter du 1er juillet 2021, les autocars neufs, utilisés pour les services réguliers de transport publics non urbains, doivent être équipés, à leur mise en service, d’un système pour transporter au minimum 5 vélos non démontés…
«Embarq» : une étude sur l’intermodalité vélo/transports collectifs
L’association Vélo & Territoires a mené, en lien avec le ministère de la Transition écologique et l’Ademe, une étude sur l’intermodalité vélo/transports terrestres. Cette étude, achevée à la fin d’avril 2021, identifie notamment les freins potentiels à chaque étape de la chaîne d’un déplacement intermodal réalisé en partie en vélo et formule des préconisations pour lever ces freins…
CEREMA >> Article complet
Ensuite, l’aménagement des gares est souvent peu adapté à la circulation des piétons avec vélo (pas de goulotte dans les escaliers, ascenseurs trop étroits, signalétique inappropriée), et finalement l’embarquement au milieu du flux de voyageurs, dans une voiture parfois surélevée par rapport au quai n’est pas toujours aisé. En ce qui concerne le car, l’offre est encore confidentielle, mais commence à se développer.
Une réglementation récente pour favoriser l’intermodalité vélo/transports collectifs
La loi d’orientation des mobilités prévoit
- d’une part le développement de stationnements sécurisés pour les vélos dans les gares et pôles d’échanges avant le 1er janvier 2024 (Code des Transports, article L. 1272-1),
- et d’autre part, la généralisation de l’emport des vélos dans les cars et trains (Code des Transports, articles L. 1272-5 et L. 1272-6)
L’emport des vélos dans les trains
Selon le type de service ferroviaire, un minimum de 4 à 8 emplacements pour vélos non démontés doit être prévu dans tout matériel neuf pour lequel un avis de marché a été publié à compter du 15 mars 2021 ou pour tout matériel avec rénovation engagée ou avis de marché publié à compter du 15 mars 2021 (hors services urbains).
L’emport des vélos dans les cars
À compter du 1er juillet 2021, les autocars neufs, utilisés pour les services réguliers de transport publics non urbains, doivent être équipés, à leur mise en service, d’un système pour transporter au minimum 5 vélos non démontés…
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